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Le Festival Panafricain de Musique (Fespam) est de retour avec sa 11ème édition, qui sera lancée officiellement le 13 mai prochain dans le département de la Lekoumou en République du Congo. Le coût de l’événement est estimé à 2 milliards CFA et de nouveaux équipements de son et de production ont été acquis. Le Fespam a également annoncé une nouvelle politique pour mieux traiter les cachets des artistes et demande à ces derniers d’ouvrir des comptes bancaires pour intéresser les banques à l’industrie culturelle. Cette édition promet de nombreuses améliorations pour répondre aux attentes des artistes et des publics ainsi qu’un impact économique positif pour la ville de Sibiti et la République du Congo.

L’article raconte le désolant spectacle qu’offrent les fosses septiques débordantes du supermarché NS SMART, situé à l’entrée de l’avenue Kalembelembe à Kinshasa. Les habitants de la ville sont confrontés à des situations similaires un peu partout dans la ville. Les autorités sont critiquées pour leur laxisme face à ce problème de santé publique. Les familles pauvres n’ont pas les moyens de se payer les services de vidange proposées par des entreprises privées et sont ainsi confrontées à de graves problèmes de santé. Le gouvernement devrait prendre des mesures pour lutter contre ce problème de pollution urbaine et sensibiliser la population à agir pour leur santé.

L’article traite de la mise au point de la vice-ministre de l’enseignement primaire, secondaire et technique en République Démocratique du Congo, Aminata Namasya Bazego, concernant une rumeur sur sa grossesse qui circulait sur les réseaux sociaux. Elle rappelle que sa vie privée doit être respectée et que les attaques personnelles ne seront tolérées. L’article souligne également l’importance de respecter les droits garantis à tous les Congolais par la Constitution et suggère que le blog aurait pu approfondir le sujet en offrant d’autres informations pertinentes sur les politiciens et les femmes politiques congolais.

L’éboulement survenu dans la mine de Songambele à Rubaya, dans le Nord-Kivu, n’a fait qu’un mort et trois blessés. Cette information contredit les fausses rumeurs circulant sur les réseaux sociaux mentionnant une centaine de morts. Les victimes étaient des chasseurs artisanaux clandestins, et le périmètre avait été fermé par le ministère national des Mines. Les autorités locales appellent la population à prendre conscience de la fragilité du sol dans la région et à lutter contre la déforestation. En effet, à quelques kilomètres, dans la province voisine du Sud-Kivu, les inondations ont fait plusieurs centaines de morts et de disparus. Les autorités demandent donc à la population de respecter les décisions gouvernementales concernant l’arrêt de l’exploitation illégale en vue de protéger l’environnement.

Cet article relate les développements récents de l’actualité en République Démocratique du Congo, avec une attention particulière portée sur le licenciement massif des agents de la Direction de la Communication de la présidence congolaise. Les agents ont exprimé leur mécontentement face à la décision brutale et injustifiée de les licencier sans préavis ou raison valable. Ils ont souligné que les conditions de licenciement auraient dû être plus clémentes au sein d’une institution présidentielle. De plus, les licenciements ont éveillé le soupçon à propos d’éventuelles contraintes budgétaires, mais les agents mettent en avant l’insuffisance de cette hypothèse, étant donné le coût d’embauche de nouveaux agents compétents. En fin de compte, cet article revient sur la nécessité de suivre une certaine étiquette en matière de licenciement, surtout au niveau des institutions présidentielles.