Catégorie : Politique

Le président national de l’Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand (AACPG), Pius Muabilu, a lancé son nouveau regroupement politique pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi aux élections présidentielles prévues en décembre 2023 en RDC. Le regroupement est composé de plusieurs partis politiques et personnalités, dont le vice-ministre de la défense et le rapporteur adjoint de la CENI. Pius Muabilu a déclaré que leur soutien à Tshisekedi repose sur son engagement en faveur de la lutte contre l’insécurité dans l’est du pays et pour la gratuité de l’enseignement primaire. Toutefois, dans le contexte politique complexe de la RDC, il est important de suivre de près l’évolution de la situation à l’approche des élections.

Le dépouillement des élections présidentielles en Sierra Leone a débuté après une journée de vote pacifique, mais avec quelques problèmes logistiques signalés. Le président sortant, Julius Maada Bio, est en lice pour un second mandat, mais doit faire face à 12 candidats, dont son principal adversaire, Samura Kamara. Les premiers résultats devraient être annoncés dans les prochaines heures, alors que la population est préoccupée par la cherté de la vie et l’inflation croissante dans le pays. La Sierra Leone, qui a connu une guerre civile prolongée de 1991 à 2002, espère que ces élections renforceront la stabilité politique et économique du pays.

Dans un contexte politique difficile, la candidature du président sortant Félix Tshisekedi se voit renforcée par le soutien de l’Alliance des acteurs attachés au peuple (AAAP). Le parti, composé de plusieurs partis politiques et personnalités indépendantes, salue le bilan remarquable du président, en moins de cinq ans, dans la lutte contre la corruption et l’isolement diplomatique, ainsi que les progrès significatifs en matière d’enseignement et de sécurité. Cette adhésion vient renforcer la position de Tshisekedi dans sa campagne présidentielle de décembre prochain.

Le leader et Président du parti politique ECIDé, Martin Fayulu, s’est retiré du processus électoral en République Démocratique du Congo cinq mois avant les élections présidentielles en raison d’un fichier électoral corrompu qui pourrait favoriser de nouvelles fraudes électorales. Cette décision a été difficile à accepter pour ses électeurs, mais il exige un fichier électoral fiable avant de déposer sa candidature ou soutenir celle d’un autre candidat de l’opposition.

La ville de Butembo est confrontée à une insécurité grandissante avec des assassins armés qui volent et visent des civils et des opérateurs économiques. Les faibles effectifs de l’armée sont pointés du doigt. Cependant, la Banque mondiale, des acteurs politiques et la société civile ont pris des initiatives pour y faire face. La conférence épiscopale de la RDC demande une résolution urgente de la crise dans l’est du pays. Des jeunes de Lituri témoignent d’un dialogue intercommunautaire prometteur pour la paix. La réforme de la police est en cours pour renforcer la paix et la sécurité. Enfin, Emmanuel Macron a lancé un sommet mondial pour un nouveau pacte financier en faveur d’une économie verte et durable. La RDC doit faire face à des enjeux primordiaux de sécurité, de stabilité politique et d’environnement, qui nécessitent une attention constante et des initiatives efficaces à tous les niveaux.

L’UDPS de la province du Kasaï oriental prévoit une manifestation pacifique pour demander la démission du gouverneur Mathias Kabeya Matshi, accusé de mauvaise gestion. Les citoyens congolais continuent de se mobiliser pour porter leurs revendications, face au manque d’infrastructures de base et de services publics. Cette situation se répète dans plusieurs parties de la RDC, et reflète l’urgence pour les autorités congolaises de répondre aux attentes de leur population.

Michel Bongongo, ex-ministre de la Fonction publique et président du parti ABC-RDC, a annoncé son soutien à la candidature de Félix Tshisekedi pour la présidentielle de décembre 2023 en République démocratique du Congo. Dans une interview, il a souligné le bilan « satisfaisant » de l’actuel chef de l’État, mettant en avant les progrès dans divers secteurs tels que la diplomatie, la lutte contre la corruption, les infrastructures, la réduction de l’Impôt sur la rémunération, l’augmentation de la pension des militaires et la gratuité de l’enseignement primaire. Il a également évoqué les efforts déployés pour la mobilisation de la jeunesse congolaise, mais a admis le caractère coûteux de la guerre pour les populations.

Le président de l’Assemblée provinciale du Kongo Central, Jean-Claude Vuemba, a démissionné de ses fonctions vendredi dernier. Cette décision est intervenue suite à des tensions politiques dans la province. Bien que les raisons de la démission ne soient pas claires, il était accusé d’avoir des liens avec l’un des principaux opposants au régime de Tshisekedi. Cette situation montre la nature volatile de la politique en RDC et souligne la nécessité de renforcer les institutions provinciales pour promouvoir la paix et la stabilité.

Le parti UDPS Tshisekedi exige la démission du gouverneur Mathias Kabeya Matshi dans la province du Kasaï oriental. La fédération de l’UDPS Tshisekedi organise une marche pacifique ce vendredi 23 juin pour dénoncer la mauvaise gestion de la chose publique. La situation témoigne de l’agitation politique dans la RDC à l’approche des élections générales et de l’échéance présidentielle. Les manifestations pacifiques permettent de faire entendre la voix de la population et de mettre la pression sur les responsables politiques.

La République Démocratique du Congo traverse une crise sécuritaire et politique depuis plusieurs années, comme le rapport final du groupe d’experts des Nations Unies l’a récemment confirmé. Le Royaume-Uni a appelé à respecter les processus de paix régionaux en cours pour sortir de cette crise. La situation dans l’est de la RDC reste très inquiétante, bien que la force régionale EACRF ait réussi à récupérer certains bastions de la rébellion. La situation politique se dégrade également à quelques mois des élections générales, tandis que le financement du processus électoral est difficile. Malgré tout, des engagements ont été pris pour lutter contre les violences de genre et la traite des personnes dans le sport, et pour participer au sommet pour le pacte financier mondial.