La mission d’audit externe du fichier électoral en République Démocratique du Congo (RDC) a validé la fiabilité de celui-ci. Les auditeurs ont rendu public les statistiques brutes par province, confirmant que Kinshasa compte le plus grand nombre d’électeurs. Ce constat a été salué par le président de la CENI, Denis Kadima, qui se réjouit de pouvoir désormais passer à la réception et au traitement des candidatures. La validation de la fiabilité du fichier électoral apporte une stabilité à la CENI et rassure les acteurs politiques ainsi que la population quant à la crédibilité du processus électoral congolais.
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Le mouvement de grève des enseignants de l’EPST, qui devait débuter le 22 mai, a été suspendu après des avancées significatives dans les négociations avec le gouvernement. Ce dernier a notamment procédé à la liquidation de la paie complémentaire du mois d’avril 2023 en urgence, ainsi que des dossiers relatifs à la prime pour la fonction spéciale accordée aux Inspecteurs. Cette suspension est une bonne nouvelle pour les élèves de l’école impactés par les grèves récentes. Cette décision souligne l’importance du dialogue pour résoudre les conflits sociaux et donne un signe encourageant pour une solution des conflits en République Démocratique du Congo.
L’article traite du conflit des terres qui oppose les tribus Teke et Yaka pour la possession du plateau de Bateke en République Démocratique du Congo. Ce conflit est dû à la vente des terres par des personnalités congolaises, ainsi que d’autres dignitaires et hauts gradés de l’armée, pour répondre à l’expansion territoriale du Rwanda. Les chefs coutumiers Teke ont multiplié les stratagèmes pour inciter les propriétaires locaux à abandonner leurs terres. Les autres exploitants des terres, tels que les Baluba, Bambala, Yansi et Bayaka, revendiquent également la paternité de ces terres. Le gouvernement doit agir rapidement pour mettre fin à ces ventes de terres et limiter la frustration et l’exaspération des communautés locales.
L’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) a débuté une première phase de réflexion pour son congrès extraordinaire qui aura lieu au plus tard en juillet. Cette première phase consiste en la révision des textes normatifs de l’organisation à travers la collecte de contributions d’experts, avec la participation de trois professeurs du secteur et de deux juristes. Le Vice-Président de l’UNPC a sollicité les contributions et propositions des Présidents des sections de l’organisation, avant le 21 mai. Les travaux sont financés par INTERNEWS et une deuxième phase est prévue pour l’amendement et l’adoption des textes par les congressistes lors du Congrès extraordinaire. Cette initiative est perçue comme une avancée importante dans la réglementation de l’activité des médias en République Démocratique du Congo.
L’article parle de l’actualité en République Démocratique du Congo avec la nomination du nouveau ministre des Sports, François Kabulo Mwana Kabulo. Mais le ministre est critiqué pour ses sorties et sa capacité à gérer ce ministère. La reprise du championnat de la Ligue Nationale de Football a été annulée. La RDC fait également face à des problèmes tels que la répression violente des manifestations de l’opposition et des catastrophes naturelles. C’est important de suivre l’actualité pour comprendre les enjeux et les défis auxquels font face les différentes institutions et les citoyens congolais.
Les travaux de construction du pont Cihanda sur la RN5 au Sud-Kivu, en République Démocratique du Congo, ont été suspendus après neuf mois de travaux pour des raisons inconnues. Les habitants, qui attendent impatiemment l’achèvement du pont, s’inquiètent de la destination des fonds alloués. Les usagers de la RN5 dénoncent également l’état lamentable de cette route d’intérêt national. Il est urgent que le gouvernement prenne des mesures pour assurer la continuité des travaux et veille à la transparence dans l’utilisation des fonds alloués pour cette infrastructure vitale.
La marche pacifique de l’opposition à Kinshasa, le samedi 20 mai 2023, a été sévèrement réprimée par les forces de sécurité congolaises. Les organisateurs dénoncent les tirs de gaz lacrymogènes, les arrestations arbitraires et la brutalité des forces de sécurité. Les violences ont fait plusieurs blessés et rappellent les heures les plus sombres du régime Kabila. Les autorités provinciales ont attribué les violences aux organisateurs qui n’ont pas respecté l’itinéraire de la manifestation. Les militants ont souligné que la vraie cause de la répression était la volonté de réprimer un groupe et de laisser l’autre manifester librement avec des machettes et des bâtons en main. La situation politique reste tendue, avec un président Tshisekedi qui se retrouve sous le feu des critiques pour sa réponse violente à la manifestation de l’opposition.
La répression violente des manifestations pacifiques de l’opposition en RDC par les forces de l’ordre, qui a entraîné plusieurs morts, suscite l’inquiétude de la communauté internationale. Les observateurs pointent l’utilisation excessive de la force et l’impunité dont jouissent les forces de l’ordre. Malgré cela, l’opposition maintient sa mobilisation et appelle à de nouvelles manifestations. La sécurité nationale est également mise en cause, avec l’attaque d’irumu et la catastrophe naturelle à Luebo. La renégociation des contrats miniers avec la Chine apparaît comme une lueur d’espoir pour le respect des droits humains et la stabilité économique du pays.
L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti au pouvoir en République Démocratique du Congo (RDC), a organisé une marche à Kinshasa en soutien au Président qui s’est déroulée sans incident. Pendant ce temps, l’opposition avait également convoqué une marche qui a été réprimée violemment par la police. Des attaques meurtrières continuent de sévir dans certaines provinces de la RDC, tandis qu’une catastrophe naturelle a eu lieu à Luebo. Malgré cela, la RDC poursuit ses négociations avec la Chine pour une exploitation plus équitable de ses ressources naturelles. La RDC doit rester vigilante face à la tension politique grandissante et à l’insécurité chronique dans certaines régions.
En République démocratique du Congo, une marche pacifique de l’opposition à Kinshasa a été réprimée violemment par la police et l’armée, entraînant la mort de plusieurs manifestants. Moïse Katumbi, leader de l’opposition, a condamné la répression et appelé à poursuivre le combat pour les droits des Congolais. La situation est d’autant plus préoccupante que le pays a été touché par plusieurs tragédies récentes : une attaque meurtrière, une catastrophe naturelle et un incendie mortel. Le fichier électoral a été audité, mettant en évidence des fraudes et des doublons. Une renégociation du contrat minier avec la Chine est prévue pour une exploitation plus juste des ressources naturelles. La situation en RDC reste instable et marquée par la lutte de l’opposition.