Lors d’une conférence de presse, le vice-premier ministre de la RD Congo, Peter Kazadi, a défendu l’action de la force publique lors de la répression de la manifestation de l’opposition le 20 mai dernier. Face aux dénonciations de plusieurs organisations de la société civile, il a comparé la situation en RDC avec celle en France et aux États-Unis pour dénoncer une couverture médiatique partisane et biaisée. Le gouvernement congolais refuse de se laisser intimider et dénonce le traitement du pouvoir dans les médias.
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Le parti politique « Piste pour l’Emergence » a organisé son premier congrès sur le thème de l’urgence de solutions pour le développement de la République Démocratique du Congo. Le parti prône un humanisme libéral, le respect de la démocratie, des droits de l’homme et de l’économie de marché pour instaurer un État de droit et réduire les divisions et exclusions dans la gestion de la République. Seth Kikuni a été désigné comme candidat à la présidentielle de 2018 avec une campagne fondée sur la passion, la dévotion et la loyauté au service de la nation congolaise.
Cet article traite du conflit interethnique qui oppose les communautés Teke et Yaka dans les provinces du Kwango et de Mai-Ndombo en République Démocratique du Congo. Les « Mobondo », groupe de jeunes armés, sont identifiés comme les responsables de l’insécurité. Si le gouvernement considère que cela relève d’une manipulation politique, l’église catholique voit une instrumentalisation du conflit par certains acteurs politiques pour servir leurs propres intérêts. Des affrontements entre les « Mobondo » et les forces armées ont fait 11 morts et les prélats catholiques appellent à des élections libres et équitables pour éviter toute tricherie.
Le nouveau commandant de la force de la MONUSCO en RDC, le Lt. Général Miranda Filho, s’est rendu à Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri pour rencontrer le gouverneur militaire et les membres du comité provincial de sécurité. Ils ont décidé de coopérer ensemble pour protéger la population civile et les détails des opérations à venir seront communiqués ultérieurement. Le Lt. Général Miranda Filho est en phase de transition pour permettre aux FARDC de prendre le relais après le départ de la MONUSCO. Un dialogue intracommunautaire aura lieu pour promouvoir la paix dans la région troublée de l’Ituri. La mission du nouveau commandant s’annonce difficile mais cruciale pour assurer la sécurité de la population.
La situation dans l’Est de la République Démocratique du Congo inquiète les États-Unis et les organisations de la société civile. Le secrétaire d’État américain a appelé le président congolais pour exprimer sa préoccupation pour les violences et les déplacements de population. Les États-Unis sont également attentifs aux droits du peuple congolais à manifester pacifiquement et souhaitent soutenir des élections libres et équitables. La question de la sécurité dans la région a également été abordée, et le Rwanda a été exhorté à mettre fin à son soutien militaire aux groupes terroristes. Des tensions électorales et sociales ont été signalées, même si certains mouvements continuent d’être lancés pour encourager une gouvernance efficace.
La province du Kasaï en République Démocratique du Congo est confrontée à de mauvaises pratiques de gestion des effluents d’origines pluviales et domestiques. Le député provincial Olivier Tombé a déposé un projet de loi pour doter cette région d’un outil de gestion environnementale, afin de sensibiliser et responsabiliser les citoyens quant à la préservation de leur environnement. Cette proposition de loi est la première du genre dans la province du Kasaï. En somme, il est crucial que chaque citoyen agisse pour préserver son environnement et protéger sa santé, ainsi que celle des autres.
L’article se concentre sur la réunion entre le secrétaire d’État des États-Unis et le président congolais, qui a porté sur la situation humanitaire et sécuritaire en RDC. L’article mentionne également le retrait du groupe armé M23 et les préoccupations liées aux discours de haine. La RDC continue de vivre une crise sans précédent, avec des témoignages et des manifestations pour des élections transparentes et équitables, ainsi que la chute de Vampa et la crise du système éducatif. La communauté internationale doit accorder une attention particulière à cette situation.
Un article récent révèle que des policiers rwandophones travaillent dans les forces de sécurité congolaises, payés par une entreprise minière. Des rapports antérieurs suggéraient déjà que le recrutement de forces de sécurité se faisait principalement dans une seule ethnie. Cette révélation rappelle l’impact communautaire de la crise politique en RDC. Le blog « Fatshi Metrie » a récemment publié une série d’articles qui dénoncent les inégalités sociales en RDC. Il est temps que les autorités se concentrent sur la construction d’un environnement respectueux et sûr et qu’elles promeuvent des programmes de développement inclusifs.
Cet article met en lumière les tensions politiques en République Démocratique du Congo, caractérisées par des affrontements entre différentes factions politique et milices. La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et d’autres groupes ont appelé à une prise de conscience collective face à la violence armée et au manque de transparence dans le processus électoral. Malgré tout, des initiatives positives telles que des matinées de sensibilisation pour une gouvernance efficace ou encore des tournois de football pour les jeunes talents en Afrique centrale sont également organisées. L’article appelle à une coopération entre toutes les parties prenantes pour mettre fin à la violence et promouvoir la stabilité politique en République Démocratique du Congo.
Des manifestations menées par l’opposition congolaise ont lieu sur le boulevard du 30 juin, à Kinshasa. Plusieurs personnalités politiques et activistes dénoncent un processus électoral chaotique et peu transparent, et craignent que la Commission Electorale Nationale Indépendante ne favorise Félix Tshisekedi. Les tensions sont palpables, les accès au boulevard bloqués et les forces de l’ordre quadrillent la zone. Les Congolais réclament une organisation d’élections transparentes et équitables.