Le sommet quadripartite CEEAC, SADC, CIRGL et EAC qui s’est tenu à Luanda en Angola a abordé la question de la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC et du financement de la force régionale de l’EAC. Le manque de financement prévisible, adéquat et durable a été souligné, et la Commission de l’UA a été chargée de mobiliser les ressources nécessaires. La présence de la force régionale en RDC a été prolongée jusqu’en septembre, malgré les critiques, en espérant des résultats concrets sur le terrain. Des défis persistent pour garantir la stabilité et la paix dans la région.
Catégorie : Internationale
Dans cet article, nous examinons les préoccupations des États-Unis quant au retrait annoncé de la MONUSCO en RDC. Les États-Unis s’inquiètent de la création d’un vide de sécurité dans la région et de la mise en danger des populations vulnérables. Ils estiment qu’il est trop tôt pour retirer la mission, étant donné les critères de référence non atteints. Ils soulignent également le risque d’une augmentation des activités des groupes armés et appellent à la volonté politique de la RDC pour assurer la paix et la sécurité. Ils expriment leur préoccupation quant à la législation du corps de réserve de l’armée congolaise, demandant au gouvernement de garantir un contrôle strict et de le soumettre au programme de démobilisation et de réintégration. Les États-Unis reconfirment leur soutien à la MONUSCO et appellent à une prise de décision minutieuse pour éviter des conséquences néfastes pour les populations vulnérables de la région.
Le président Kenyan William Ruto défend le rôle de la force régionale de l’EAC dans la stabilisation de l’Est de la RDC. Il affirme que la force a accompli en six mois ce que le gouvernement congolais n’a pas réussi à faire en trente ans. Des progrès significatifs ont été réalisés, tels que la cessation des hostilités et l’éloignement du groupe terroriste du M23 de la ville de Goma. Malgré les défis, tels que le cantonnement du M23 et les problèmes d’eau et de routes, le président Ruto reste optimiste quant à la possibilité de stabiliser la région. Il affirme la volonté de l’EAC de rester engagée en RDC pour assurer la sécurité et la stabilité.
Sa Majesté MFUMU DIFIMA NTINU, président du Conseil supérieur de l’autorité traditionnelle et coutumière (CONATC), vient de terminer une tournée européenne où il a défendu la paix en République Démocratique du Congo (RDC) et renforcé les liens avec les royautés européennes. Il a participé à la table-ronde des États membres de la Cour pénale internationale (CPI) pour la revue des situations des Etats-Pays en conflits et a partagé les initiatives prises pour rétablir la paix en RDC. Sa Majesté témoigne de son engagement envers la culture et les traditions africaines, et appelle à la protection de l’identité africaine.
Cet article traite de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU où la question du soutien du Rwanda au mouvement terroriste du M23 a été abordée. Les États-Unis ont appelé les autres membres du Conseil à faire pression sur le gouvernement rwandais pour qu’il cesse immédiatement de soutenir le M23. Le billet mentionne également l’importance de s’attaquer aux causes profondes des conflits pour trouver des solutions à la crise régionale. D’autres sujets ont également été abordés sur le blog « Fatshimétrie », comme la situation sanitaire en RDC, la lutte contre le paludisme, l’examen d’Etat et la participation du parti Envol aux élections de décembre en RDC.
Le procès du député Edouard Mwangachuchu Hizi en RDC a révélé des liens présumés avec le Rwanda, bien que l’accusé ait nié ces allégations. Malgré cela, des initiatives positives ont été annoncées, comme la participation du parti Envol aux élections et l’allocation de 100 millions de dollars par la Banque mondiale pour lutter contre les érosions. La Rumba Congolaise sera également à l’honneur au FESPAM 2022, soulignant la complexité de la situation actuelle en RDC et la nécessité d’une coopération internationale pour un avenir plus stable et prospère.
Un sommet sur la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC, regroupant les membres de l’Union Africaine, est convoqué ce mardi à Luanda. L’objectif est d’améliorer la coordination des initiatives de paix régionales entre les volets politique et militaire, et de clarifier les rôles de chaque pays et organisation impliquée. L’approche des élections exige une coordination des efforts pour une paix durable et le respect de la souveraineté de la RDC. Le sommet est très attendu et une équipe d’experts travaille depuis le 23 juin pour préparer les assises qui verront également la participation des Nations Unies.
La situation sécuritaire précaire dans l’est de la République Démocratique du Congo a attiré l’attention du Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Le gouvernement de la RDC est préoccupé par les appels croissants en faveur d’un retrait de la Monusco, car cela causerait un vide sécuritaire et une détérioration de la crise humanitaire. Le plan de retrait prévoit le départ de la Monusco d’ici à 2024 ; cependant, il reste des objectifs à atteindre pour assurer une transition sécuritaire responsable. Le gouvernement de Félix Tshisekedi travaille dans cette direction et renforce la coopération avec les pays voisins et les organisations internationales. En parallèle, le pays doit faire face à des enjeux politiques et sociaux importants.
Cet article traite de la situation préoccupante de l’est de la République Démocratique du Congo, où les groupes armés comme les FDLR et le M23 continuent de semer le trouble malgré les appels répétés des experts de l’ONU et des États-Unis pour que la coopération avec ces groupes cesse. Les preuves de soutien de Kigali au M23 ont été confirmées par les experts de l’ONU, tandis que la force régionale EACRF a des difficultés à faire face à la situation sur le terrain. Dans ce contexte, l’initiative diplomatique est encouragée pour une éradication durable des groupes armés et pour traiter les causes profondes du conflit dans l’Est de la RDC.
Le président Félix Tshisekedi s’est rendu en tournée dans la région du Kasaï, inaugurant notamment un projet de lutte anti-érosive financé par la Banque Mondiale. Il a également visité des infrastructures en construction, telles que l’Université de Kananga et a posé la première pierre d’une nouvelle ville à Mbuji-Mayi. Cette tournée s’inscrit dans sa politique de modernisation et de développement des infrastructures du pays. D’autres événements, tels que le processus électoral et les jeux de la francophonie, marquent également l’actualité en RDC.