Face à un fléau qui ronge le continent africain, le gendarme congolais des finances publiques, Jules Alingete, sonne l’alarme sur l’enrichissement illicite impuni : « un obstacle au développement de l’Afrique ».
Sur Twitter, sa thèse recueille de nombreux soutiens. Des Congolais se rallient à son combat, dénonçant la corruption et l’enrichissement illicite impuni qui freinent le développement du continent. En effet, des politiciens véreux, détourneurs de deniers publics, continuent de diriger des États tout en se faisant passer pour des donneurs de leçon.
Pour Jules Alingete, l’inversion des valeurs est un frein pour le décollage du continent noir. Dans ses propos, il met en exergue la pratique du mensonge, de la tromperie, de la trahison, de l’enrichissement illicite impuni, et de la primauté de la médiocrité sur l’excellence ayant élu domicile dans la politique africaine, autant d’obstacles à tout développement.
Si certains politiques résistent à ces pratiques avilissantes, la plupart continuent à les perpétuer, mettant en danger la population qu’ils prétendent servir. Face à cela, la RDC construit un arsenal pour lutter contre la corruption et empêcher tout détournement de fonds publics.
Pour poursuivre cette lutte, Jules Alingete représente une icône inspirante. La mobilisation contre l’impunité accordée aux détourneurs de fonds doit continuer pour le bien-être économique de l’Afrique.
En somme, la corruption et l’enrichissement illicite impuni se trouvent être les obstacles majeurs au développement des pays africains. Il est temps de se mobiliser pour inverser cette tendance et construire un avenir meilleur pour le continent.