Lors de la réunion, d'importantes options ont été mises en œuvre, notamment la signature de contrats d'infrastructure avec des actionnaires congolais et l'État et ses sous-traitants. "C'est et ce sera la continuité du pays, mais je pense que le ministre les soutiendra avec le nouveau contrat", a-t-il déclaré.
Des sources dans la région ont confirmé que le mouvement M23 ne cherche pas à bloquer la seule route reliant actuellement la ville de Goma au Nord-Kivu.
Des combats ont éclaté dans le nord entre l'armée congolaise et les rebelles. Les tensions ont également augmenté entre le gouvernement de la RDC et le Rwanda voisin. Le troisième cycle de pourparlers de paix entre le gouvernement de la République démocratique du Congo et les groupes armés est en cours.
Le géant bancaire Standard Bank fait face à de graves accusations de manipulation de devises, menaçant sa crédibilité et sa confiance auprès des clients et des investisseurs. Si ces allégations se révèlent vraies, elles compromettent non seulement la réputation de la banque, mais aussi l'économie du pays tout entier. Les accusations vont jusqu'à suggérer que Standard Bank pourrait être en opposition avec le gouvernement sud-africain et même être coupable de trahison. Ces graves accusations nécessitent donc une enquête interne approfondie et une action réglementaire adéquate pour maintenir l'intégrité du secteur financier et protéger les intérêts des clients et des investisseurs.
"Le Congo est de retour", a-t-il déclaré, présentant le Congo aux investisseurs et aux banquiers.
La police a tiré des gaz lacrymogènes sur les manifestants et arrêté 12 personnes, dont trois journalistes. Les rebelles doivent quitter leurs territoires dans les provinces de Rutshuru et de Nyiragongo d'ici dimanche.
Trente-six personnes, dont quatre casques bleus de l'ONU, ont été tuées lors de violentes manifestations dans l'est la semaine dernière. Les manifestants ont accusé la mission de ne pas protéger les civils des forces de la milice qui ont semé le chaos dans la région pendant des années.
L'ancien gouverneur de l'Ituri, Jean Bamanisa Saidi, s'est également prononcé contre la loi martiale. Le président Félix Tshisekedi s'emploie à rétablir la stabilité le long de la frontière orientale du Congo.
Il est accusé d'avoir détourné plus de 369 millions de dollars sans papiers. À sa retraite, il a déclaré qu'il souhaitait que le gouvernement ait une chance de retrouver sa légitimité.
Dans tout conflit armé non international, au moins une partie doit être un groupe armé non étatique. Le DIH continuera de s'appliquer quelles que soient les fluctuations de l'intensité de la violence.