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L’article relate la répression brutale de la Marche organisée par l’opposition en République Démocratique du Congo le samedi 20 mai à Kinshasa. Le communiqué de l’Alliance des Forces pour le Bien-être des Congolais montre l’indignation face à cette répression des forces de l’ordre qui ont notamment violenté des mineurs. Les acteurs politiques ainsi que le Prix Nobel de la paix, Denis Mukwege, dénoncent une dérive dictatoriale en RDC qui menace la stabilité de la région. L’article met en avant la nécessité d’agir pour l’instauration de la démocratie en RDC et pour garantir la paix et la sécurité aux populations civiles.

La marche pacifique de l’opposition qui a eu lieu à Kinshasa, en République démocratique du Congo, a été brutalement réprimée par la police nationale congolaise. Les manifestants étaient en train de protester contre la vie chère, l’insécurité grandissante dans l’est du pays et le processus électoral chaotique. La situation politique en RDC est fragile et les autorités doivent prendre des mesures pour assurer la paix, la sécurité et des élections transparentes et démocratiques.

La répression policière de la marche de l’opposition prévue pour le 20 mai à Kinshasa a été vivement condamnée par le Dr Denis Mukwege, prix Nobel de la paix. Les Évêques de la Conférence épiscopale nationale du Congo, ainsi que le mouvement de la société civile, ont également appelé à la paix dans le pays. La situation est fragile en République démocratique du Congo, où les violences sexuelles et l’insécurité grandissent. Les autorités congolaises doivent prendre des mesures pour garantir la sécurité et les libertés fondamentales de leurs citoyens, tout en travaillant avec le monde entier pour trouver des solutions à cette situation explosive.

Des personnalités politiques congolaises telles que Martin Fayulu et Moïse Katumbi ont organisé une marche de l’opposition le 20 mai pour protester contre les problèmes tels que la vie chère, l’insécurité dans l’est du pays et le processus électoral jugé bâclé. La marche a été réprimée violemment par les forces de l’ordre congolaises, ce qui a été condamné par l’Alliance des Forces pour le Bien-être des Congolais (AFBC). Cependant, ces événements rappellent la fragilité de la situation politique en RDC. Le pays continue de faire face à des défis majeurs tels que la connectivité transnationale, la sécurité et la lutte contre les violences sexuelles. Les élections à venir seront cruciales pour l’avenir du pays et pour la poursuite de la consolidation de la paix et de la démocratie.

La République démocratique du Congo a lancé le plus grand point d’échange d’Afrique centrale, Africa Congo Internet Exchange (ACIX), afin de lutter contre la fracture numérique. Ce projet a été créé en partenariat avec l’ONG « Internet pour tous » et la société allemande DE-CIX, visant à permettre aux opérateurs d’échanger et de faciliter le transit des contenus sur internet. Ce point d’échange reliera les pays voisins de l’océan Atlantique à l’océan Indien et réduira significativement la latence et les coûts. L’ACIX est considéré comme une étape importante pour la connectivité transnationale et continentale du pays. L’ONG « Internet Pour Tous » a également signé un accord avec l’Agence pour le Développement du Numérique pour connecter gratuitement des milliers d’écoles à Internet dans le cadre du programme « CAP 2030 – Une classe informatique multimédia connectée dans chaque école de la RDC ».

La Haute Cour militaire poursuit l’affaire de trahison à l’encontre du député national Édouard Mwangachuchu. Des documents présentés lors de l’audience mettent en doute sa nationalité et son pays de résidence. Mwangachuchu nie être un citoyen rwandais malgré un test Covid effectué au Rwanda. Il est poursuivi pour détention d’armes et est suspecté de connivence avec le Rwanda pour agresser la République Démocratique du Congo. Cette affaire de trahison alimente les débats en RDC.

Le week-end dernier à Kinshasa, une marche de l’opposition politique a été marquée par des violences policières et des arrestations, y compris celles de journalistes. Les manifestants pacifiques se sont rassemblés pour exiger des réformes et le respect de la constitution, mais ont été confrontés à des forces de sécurité brutales qui ont utilisé des gaz lacrymogènes et des matraques. Le gouvernement a condamné fermement la violence et s’est engagé à enquêter et à traduire en justice les responsables. Les organisations de défense des droits de l’homme ont exprimé leur inquiétude face à une longue liste de cas de brutalité policière en RDC, soulignant l’importance de protéger les droits de l’homme et les libertés fondamentales.

Le samedi 20 mai, plusieurs partis politiques ont organisé des activités à Kinshasa. Les autorités ont déployé des centaines de policiers pour assurer la sécurité. La marche de l’UDPS s’est déroulée sans heurts tandis que celle des quatre partis d’opposition a été perturbée car ils ont refusé de suivre l’itinéraire donné. Les affrontements avec la police ont occasionné plusieurs actes de vandalisme et blessé 27 policiers ainsi que six individus équipés de machettes qui ont été interpellés. Trois policiers responsables de brutalités sur les manifestants et un mineur ont été arrêtés et seront présentés devant la justice militaire.

La commune rurale de Luebo, dans la province du Kasaï, a été frappée par une pluie diluvienne accompagnée de vents violents, qui a causé la destruction de 60 maisons et a blessé cinq personnes. Les victimes passent la nuit à la belle étoile et ont besoin d’une assistance urgente. Les plus vulnérables sont les enfants, les femmes et les personnes âgées. Le gouvernement provincial du Kasaï est sollicité pour aider les sinistrés.

Le 4 mai, une catastrophe a frappé la région de Kalehe en RDC. Le bilan officiel des autorités fait état de 438 morts, plus de 5000 disparus et de milliers de sinistrés. Selon la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU en RDC, le nombre de victimes serait bien plus élevé, car beaucoup de victimes n’habitaient pas dans la zone touchée par les intempéries. La communauté internationale est appelée à se mobiliser pour venir en aide aux victimes, et la catastrophe rappelle l’importance de prévenir et gérer les risques de catastrophes.