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Le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et technique de la République démocratique du Congo annonce que plus d’un million de finalistes du secondaire sont attendus aux épreuves hors-session de l’Examen d’Etat édition 2022-2023. Les épreuves débuteront par la dissertation. Pour l’ENAFEP et le TENASOSP, les effectifs s’élèvent respectivement à plus de 2 millions et plus de 11 000 élèves. L’examen est un enjeu crucial pour l’avenir de la jeunesse congolaise et pour le développement futur du pays.

Le gouverneur de Kinshasa a annoncé l’octroi de 10 000 dollars mensuels à chaque commune pour leur bon fonctionnement, afin de pallier aux défis d’insalubrité dans la ville. Il a également annoncé une formation pour les Bourgmestres, et leur a demandé de faire preuve de responsabilité dans leur mission. Cette mesure est une avancée significative pour les communes et leurs dirigeants, et est un pas important pour l’amélioration globale de la ville.

Le conflit armé dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) reste intense, avec des violences et des déplacements massifs de la population. Les forces armées rwandaises sont accusées de renforcer les positions du groupe armé M23 dans la région du Nord-Kivu. Des massacres ont également été signalés dans certaines localités, contribuant à une vive inquiétude dans le pays. La gestion de la masse salariale est un autre sujet préoccupant, avec des irrégularités signalées dans la paie du personnel de l’Etat. Plusieurs mesures sont nécessaires pour garantir la stabilité et la sécurité dans ce pays.

Le candidat à l’élection présidentielle en République Démocratique du Congo, Delly Sesanga, a entamé une tournée internationale pour rencontrer les Congolais de la diaspora. Lors de sa visite à Paris, il a présenté son projet de refondation du pays et a abordé des thèmes tels que la sécurité, l’emploi des jeunes et la réaffirmation de la primauté de l’État. Le projet est né du constat que la richesse incroyable de la RDC n’est pas suffisamment exploitée pour le bien-être de sa population et qu’il est nécessaire d’organiser et de structurer l’action pour faire avancer le pays dans la bonne direction. Delly Sesanga est convaincu que la responsabilité individuelle et collective est essentielle pour résoudre l’équation paradoxale entre les richesses du Congo et la pauvreté de sa population.

Lors du 11è Sommet des Chefs d’État signataires de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, Antonio Guterres a appelé au renforcement de la coopération interafricaine pour revitaliser le mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération en République démocratique du Congo et dans toute la région des Grands lacs. Bien que des progrès aient été réalisés, de nombreuses régions de l’Est de la RDC souffrent encore des violences causées par les différents groupes armés et terroristes. Il a encouragé les initiatives de Nairobi et de Luanda et salué la présence des Forces burundaises dans la Force d’Afrique de l’Est pour leur efficacité et leur contribution positive à la réconciliation et à la paix.

Le gouvernement de la République Démocratique du Congo s’est engagé dans la gestion de la masse salariale du pays, considérant la situation économique actuelle et les performances gouvernementales en matière de financement public et de gouvernance. L’Inspection Générale des Finances a procédé à un audit qui a révélé la nécessité de maîtriser les effectifs payés et la masse salariale. Le gouvernement a donc lancé la constitution d’un fichier de référence de l’Administration Publique, accompagné de processus de mise à la retraite et de systématisation des opérations d’assainissement du fichier unique. La maîtrise de ces dépenses est également recommandée par le FMI pour continuer à bénéficier d’aides financières. Cette démarche est une priorité pour la relance économique de la RDC.

Cet article traite de la situation sécuritaire instable en République Démocratique du Congo (RDC) et de la résurgence de la rébellion du M23 dans la région des grands lacs. Le Secrétaire Général des Nations-Unies invite les groupes armés à déposer les armes et à rejoindre le processus de démobilisation et de désarmement pour mettre fin aux violences graves contre les droits humains. Il appelle également les responsables politiques communautaires à respecter les engagements pris et à mettre en œuvre les décisions prises dans le cadre des processus de Luanda et de Nairobi. Bien que le cantonnement des éléments du M23 et le déploiement des forces régionales de la Communauté de l’Afrique de l’Est soient une étape importante pour la paix et la sécurité dans l’Est de la RDC, la mise en œuvre de l’Accord-cadre d’Addis Abeba reste un problème.

La ville de Kindu, située dans la province de Maniema, a été le théâtre d’une fusillade samedi soir qui a coûté la vie à deux jeunes hommes. Cet événement a attisé la colère des habitants, qui ont pris d’assaut le siège provincial de l’UDPS et l’ont incendié. La ville souffre depuis plusieurs mois d’une insécurité grandissante, provoquant des violences meurtrières et des dégâts matériels. Les autorités locales doivent prendre rapidement des mesures efficaces pour éradiquer cette situation inquiétante.

Au milieu d’une grève des inspecteurs et agents de l’enseignement, les examens ont commencé pour les diplômés du secondaire congolais. Malgré les défis économiques, politiques et sanitaires auxquels la République Démocratique du Congo (RDC) est confrontée actuellement, le gouvernement s’engage à poursuivre la lutte contre la pandémie de Covid-19, la sécurité nationale et les interventions humanitaires. L’apport crucial d’un célèbre médecin congolais, Denis Mukwege, en aide aux victimes de la catastrophe de Kalehe souligne l’importance de l’ouverture et l’action collective pour stimuler le développement solide et résilient de la RDC.

Cet article traite de la situation sécuritaire préoccupante à l’est de la République Démocratique du Congo et de la montée des tensions dans la région. Malgré les efforts déployés par les mécanismes régionaux, les résultats restent modestes et la situation continue de se dégrader. Face à cette urgence, Moussa Faki, président de la Commission de l’Union Africaine, a appelé à une coordination renforcée des forces militaires et des mécanismes existants tels que la Monusco. La RDC doit agir rapidement pour protéger sa population et son avenir, notamment par le biais d’un dialogue approfondi pour la paix et la coopération entre les pays signataires de l’accord cadre d’Addis-Abeba.