La session ordinaire de l’examen d’État en République Démocratique du Congo pour l’année 2023-2024 a suscité des attentes et des interrogations au sein de la société congolaise. En effet, cette période marque la fin du cycle secondaire pour des milliers de jeunes candidats à travers le pays. Du 24 au 27 juin 2024, les épreuves se sont déroulées dans un climat relativement serein, et les premiers retours semblent indiquer que le processus s’est déroulé sans incident majeur.
À Beni, par exemple, plus de 5 000 candidats se sont présentés aux examens dans 15 centres de composition. Cela démontre l’importance de l’éducation et de la réussite scolaire pour la jeunesse congolaise. Cette étape cruciale de la vie des élèves aura des répercussions importantes sur leur avenir et sur le développement du pays dans son ensemble.
Lors d’une discussion sur ce sujet avec Jacques Taty Mwakupemba, coordinateur national de la Fédération nationale des enseignants et éducateurs sociaux du Congo (FENECO/UNTC), et Serge Bondedi Eleyi, secrétaire général de l’ONG Young Men Action for Education (YMAE), des pistes de réflexion intéressantes ont été soulevées. Les enjeux de l’éducation en RDC, les défis rencontrés par les candidats lors de cet examen crucial, et les perspectives d’amélioration du système éducatif ont été abordés de manière approfondie.
En cette période charnière, il est essentiel de rester attentif aux résultats de cette grande session de l’examen d’État, qui auront un impact majeur sur le parcours individuel des élèves et sur l’avenir de la nation congolaise dans son ensemble. Investir dans l’éducation, soutenir les jeunes dans leur parcours scolaire et promouvoir l’excellence académique sont des priorités essentielles pour le développement du pays et l’émergence de talents de demain.
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