Analyse critique de l’impact économique de Tinubu : Ohanaeze déclare un soutien inébranlable

Mercredi 29 mai 2024 marquait exactement un an depuis que Buhari avait terminé son deuxième mandat et remis les rênes à Tinubu.

Malgré les données disponibles suggérant que l’économie a pris un tournant pour le pire sous l’administration actuelle, avec une inflation alimentaire et le coût des biens en hausse vertigineuse, Ohanaeze croyait que le Président suivait la bonne trajectoire.

Cela était mentionné dans une déclaration publiée mercredi par Okechukwu Isiguzoro, le Secrétaire Général du groupe.

« Malgré les défis hérités tels qu’une économie rétrograde, le pillage du trésor public et la dégradation des infrastructures, Tinubu a démontré la volonté politique de surmonter ces obstacles de manière plus efficace que les huit années précédentes sous l’ancien Président Muhammadu Buhari », lisait en partie la déclaration.

Ohanaeze affirme que le Sud-Est progresse sous Tinubu

Selon Isiguzoro, l’administration actuelle a adopté une approche contrastante de la gouvernance par rapport au gouvernement de Buhari, sous lequel la région du Sud-Est a été soumise à une suppression économique délibérée.

« Pendant le régime de Buhari, le Sud-Est en tant que région a fait face à une ‘suppression économique délibérée et ciblée, entraînant des conflits et une insécurité' ».

Cependant, malgré les affirmations d’Ohanaeze sur les progrès sous l’administration de Tinubu, il est essentiel de prendre du recul et d’analyser les données économiques et sociales de manière objective. Il est indispensable de ne pas se laisser emporter par des déclarations politiques et de s’assurer que tout progrès est mesuré de manière concrète et tangible pour la population.

En fin de compte, ce sont les résultats concrets et durables qui prouveront la réussite ou l’échec d’une administration politique. Il est donc crucial de rester vigilant et de continuer à évaluer de manière critique les performances des dirigeants en fonction des faits et des données réelles, plutôt que de se fier uniquement à des déclarations partisanes.