Le récent décès tragique de Ovoke, survenu suite à des complications lors de son déjeuner à l’école, a profondément bouleversé sa famille et la communauté. Le jeune garçon a été prononcé mort à son arrivée à l’Hôpital spécialisé Excel, après avoir été emmené inconscient par ses enseignants.
Le certificat de décès émis par l’hôpital mentionne que Ovoke a été admis en raison d’une aspiration de nourriture pendant qu’il mangeait à l’école. Les médecins ont constaté qu’il ne réagissait pas à la lumière et que ses signes vitaux étaient très faibles. Malgré tous les efforts déployés pour le réanimer, Ovoke a été déclaré mort à son arrivée à l’hôpital.
Cette tragédie a plongé ses parents dans une profonde peine, mais a également suscité une quête de justice. Ils se sont tournés vers Deji Adeyanju, un avocat des droits de l’homme renommé pour son combat contre les injustices. En parallèle, l’école Brickhall, où s’est produit l’incident, est sous le feu des critiques. Détenue par Joy Emodi, une personnalité influente de la scène politique nigériane, l’école est désormais au centre d’un débat sur la sécurité et le bien-être des élèves.
L’annonce de la mort de Ovoke a soulevé des questions sur la responsabilité des écoles dans la surveillance et la sécurité des enfants pendant leurs repas. Les parents et la communauté exigent des réponses et des mesures concrètes pour éviter qu’une telle tragédie se reproduise.
En ces temps de deuil et d’interrogations, il est essentiel que la lumière soit faite sur les circonstances exactes de ce drame et que des mesures préventives soient mises en place pour protéger la vie des enfants à l’école. Le décès de Ovoke ne doit pas être vain, il doit servir de catalyseur pour des changements positifs et durables dans le système éducatif pour garantir la sécurité et le bien-être de tous les élèves.
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