Le Gouverneur de l’Etat a récemment annoncé sa décision de réduire les peines de 15 détenus et d’accorder une libération conditionnelle à quatre autres dans le cadre d’un ordre de clémence signé. Cette initiative vise à offrir une seconde chance aux détenus et à les encourager à se réinsérer dans la société.
Le Contrôleur de Service Correctionnel, Abdul Raheem Salami, a exprimé sa satisfaction à l’égard de cette décision, soulignant qu’elle apportait une touche de pardon et d’espoir aux dizaines de personnes incarcérées à travers l’Etat. Selon lui, cette mesure donnera un nouvel élan à la morale des détenus et les encouragera à s’engager dans les différents programmes de formation professionnelle et académique proposés dans les centres de détention.
Il a également noté que les établissements correctionnels situés à Ogbomoso, Ibadan et Oyo Town accueillent actuellement environ 1 800 détenus. Ces centres offrent des programmes de réhabilitation et de renforcement des compétences quotidiennement afin que les citoyens réintégrés puissent contribuer à la société.
Cette décision du Gouverneur témoigne de la volonté de l’Etat de promouvoir la réhabilitation et de donner une chance aux détenus de se reconstruire et d’apporter une contribution positive à la société. En offrant aux détenus la possibilité de poursuivre des études universitaires, l’Etat donne une nouvelle perspective à ces individus en leur offrant la possibilité d’obtenir un diplôme et d’améliorer leurs chances de réinsertion sociale.
Il convient également de souligner l’importance de services tels que le National Open University, qui permettent aux détenus de continuer à se former et à se développer même pendant leur incarcération. Ces programmes constituent un outil précieux pour les détenus qui souhaitent se réintégrer dans la société et trouver un emploi stable après leur libération.
En conclusion, la décision du Gouverneur de réduire les peines et d’accorder une libération conditionnelle à certains détenus témoigne de la volonté de l’Etat de promouvoir la réhabilitation et de donner une seconde chance aux détenus. En leur offrant la possibilité de continuer leurs études universitaires, l’Etat ouvre de nouvelles perspectives aux détenus et favorise leur réintégration sociale. Cette initiative est un exemple louable de pardon et d’espoir dans le système correctionnel et devrait être saluée.