« L’armée burundaise dément toute collaboration avec le groupe d’autodéfense « Wazalendo » au Nord-Kivu et dénonce des accusations calomnieuses »

L’armée burundaise dément toute collaboration avec le groupe d’autodéfense « Wazalendo » au Nord-Kivu

Dans le cadre de la force régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC), l’armée burundaise est déployée dans la province du Nord-Kivu pour aider à restaurer l’autorité de l’État dans cette région actuellement occupée par le groupe rebelle M23 appuyé par le Rwanda. Cependant, récemment, des médias rwandais ont propagé de fausses informations selon lesquelles l’armée burundaise collabore avec le groupe d’autodéfense « Wazalendo » et leur fournirait même des armes.

Dans un démenti catégorique, le colonel Floribert Biyereke, porte-parole de l’armée burundaise, a souligné que ces allégations étaient infondées et calomnieuses. Il a affirmé que les troupes burundaises travaillent avec professionnalisme et n’ont jamais collaboré avec un quelconque groupe armé. Il a qualifié ces accusations de « graves injures » portées à l’encontre des militaires burundais et a déclaré qu’elles étaient motivées par des intentions inavouées.

Il est important de noter que l’armée burundaise est engagée dans une mission officielle de restauration de l’autorité de l’État au Nord-Kivu et n’a aucun intérêt à collaborer avec des groupes armés. Ces affirmations infondées visent probablement à discréditer les efforts de l’armée burundaise et à semer la confusion dans la région.

Par conséquent, il est essentiel de prendre ces informations avec précaution et de vérifier leur véracité avant de les diffuser. Il est également crucial de soutenir les efforts des forces régionales pour rétablir la sécurité et la stabilité dans la région du Nord-Kivu.

Dans l’ensemble, il est important de rester objectif et de ne pas se laisser influencer par de fausses informations. Les troupes burundaises sont engagées dans une mission légitime et méritent d’être soutenues dans leurs efforts pour rétablir la paix et la sécurité dans cette région troublée du Nord-Kivu.