Contrat chinois en RDC : une révision pour un partenariat équilibré
Dans la gestion des finances publiques en République Démocratique du Congo (RDC), la lutte contre la corruption est une priorité pour le Président Félix-Antoine Tshisekedi. Et dans cette mission, il salue le travail remarquable de l’Inspection générale des finances (IGF) dirigée par Jules Alingete.
Depuis 2020, l’IGF se positionne en tant que véritable gendarme des finances publiques, avec plusieurs rapports mettant en lumière des pratiques de corruption. Son engagement a même été reconnu par le prestigieux magazine économique Forbes International.
L’une des principales problématiques auxquelles l’IGF s’est attaquée est la revisitation du contrat chinois en RDC. En effet, le Président Tshisekedi a constaté un déséquilibre flagrant dans ce partenariat, avec des entreprises chinoises ayant accumulé près de 10 milliards de dollars de bénéfices, tandis que le pays n’a bénéficié que d’un milliard de dollars.
Face à cette situation disproportionnée, le Président Tshisekedi a tracé une ligne claire : il souhaite un partenariat gagnant-gagnant entre la RDC et les entreprises chinoises. Et suite à des discussions fructueuses lors d’un récent voyage en Chine, des avancées positives ont été obtenues.
Les partenaires chinois ont en effet compris la nécessité de rééquilibrer ce partenariat et ont montré leur volonté d’écouter les préoccupations de la RDC. Ainsi, de nouvelles négociations ont été entamées afin de garantir un partenariat plus équitable, évitant toute frustration de part et d’autre.
Dans ces négociations, Jules Alingete, à la tête de l’IGF, a joué un rôle central. Connu pour son intégrité et sa détermination, il s’est opposé fermement aux attitudes hautaines des délégués des entreprises chinoises. Grâce à son travail acharné, le contrat chinois est en cours de révision, dans l’objectif de créer un partenariat plus équilibré et avantageux pour la RDC.
En conclusion, la lutte contre la corruption et la recherche d’un partenariat équitable sont au cœur des préoccupations du Président Félix-Antoine Tshisekedi en RDC. L’IGF, dirigée par Jules Alingete, joue un rôle essentiel dans cette mission, en mettant en lumière les dérives et en travaillant à la révision du contrat chinois. Une démarche qui vise à garantir le développement économique du pays tout en préservant ses intérêts.