Corneille Nangaa dénonce la balkanisation de la RDC et accuse Félix Tshisekedi

Titre : Corneille Nangaa : entre opposition à Félix Tshisekedi et accusations de balkanisation de la RDC

Introduction :

Corneille Nangaa, ancien président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), est devenu une figure de l’opposition en RDC. Il mène une guerre sans merci contre Félix Tshisekedi, le qualifiant de « principal agent de la balkanisation de la RDC ». Dans cet article, nous examinons les déclarations incendiaires de Nangaa et leur impact sur la scène politique congolaise.

Corneille Nangaa : un opposant virulent

Depuis sa position d’opposant, Corneille Nangaa n’a pas mâché ses mots à l’encontre de Félix Tshisekedi. Dans une récente tribune en hommage à un opposant assassiné à Kinshasa, Nangaa a déclaré que le pays était au bord de l’éclatement en raison de la complicité présumée du président Tshisekedi. Il a même qualifié ce dernier de « principal agent de la balkanisation de la République démocratique du Congo ».

Accusations de balkanisation et de tribalisme

Nangaa accuse Tshisekedi de conduire le pays vers la balkanisation et de favoriser le tribalisme. Il affirme que le président gère l’État avec légèreté sur le plan sécuritaire et utilise des forces étrangères pour maintenir son pouvoir. Nangaa dénonce également la politisation de l’architecture électorale et l’instrumentalisation de la justice.

Mobilisation générale et refondation de l’armée

Face à ce qu’il considère comme un danger pour la nation congolaise, Nangaa appelle à une mobilisation générale du peuple afin de stopper Félix Tshisekedi. Il prône la réinvention de l’unité nationale, la reconquête de l’intégrité territoriale et le renforcement de l’armée congolaise. Selon lui, le développement du pays passe également par une diplomatie objective et réaliste.

Conclusion :

Les diatribes de Corneille Nangaa contre Félix Tshisekedi mettent en évidence les tensions politiques en RDC. Alors que Nangaa continue de l’accuser de balkanisation et de tribalisme, l’avenir politique du pays reste incertain. Il faudra, sans aucun doute, suivre de près l’évolution de cette rivalité et son impact sur la scène politique congolaise.