Le mentorat peut aider les femmes à gagner en confiance et à agir comme des hommes si elles veulent apprendre.

Les femmes avant la participation politique en République Démocratique du Congo

La Chaire GEC est un exemple de la transition de la société civile à la politique active. Les participants ont cité le Rwanda en exemple. Il a expliqué que le FPCN avait décidé après l’élection que les femmes représenteraient 50%, 60% ou 40% de la liste lors des prochaines élections. Je pense qu’ils comprennent que les questions de genre ont besoin d’attention. Les participants étaient généralement d’accord avec les recommandations suivantes. Les obstacles sont souvent évoqués. Il existe de nombreux obstacles à la participation des femmes à la vie politique en République démocratique du Congo. Pour la toute première fois, le Programme de gestion politique du PNUD soutient le mouvement pour l’égalité des sexes dans la législation. Au Rwanda, 30 % de tous les sièges parlementaires et ministériels sont réservés aux femmes, les 70 % restants étant réservés au vote. Mme Mutombo a déclaré que cela ne se limitait pas à faire campagne contre les partis politiques. Les ressources humaines et la technologie peuvent être des facteurs importants en politique. Je suis un politicien. Le comité de parents et moi avons bénéficié de la formation organisée par CAFCO, qui nous semble très utile pour l’avenir des femmes de ce pays. Le responsable du genre et des élections de la MONUC a déclaré qu’il était important de continuer car c’est le souhait de toutes les parties et le début de la phase préélectorale. Elles sont moins responsables de demander, mais elles n’ont pas besoin de forces sociales fortes pour les aider à mettre à l’échelle leurs stratégies gagnantes, et elles n’ont pas à faire face aux mêmes défis culturels que les femmes. Ross Mutombo a déclaré dès le départ que le rôle de son organisation n’est pas de « mener le vote » mais de nager à contre-courant et d’autonomiser les femmes dans les instances décisionnelles qu’elles méritent. Le 28 décembre 2011, les leaders des premiers partis politiques et groupements politiques ont soumis une proposition de femmes leaders au CAFCO. Le CAFCO continue d’aider davantage de femmes à participer à la prise de décision et à la structure stratégique des partis politiques et à figurer sur les listes des partis suite aux modifications apportées aux lois électorales. Les points de vue de nos divers représentants reflètent les défis auxquels nous sommes confrontés. Cela augmentera le nombre d’acteurs politiques. Le parti RCD soutient qu’en raison de croyances sociales et culturelles communes sur le rôle et le statut des femmes, avoir un grand nombre de femmes sur la liste électorale serait considéré comme un suicide politique. Les politiciens ont besoin de stratégies et de plans de communication. Malgré l’incertitude entourant l’environnement pré-électoral, certains partis ont commencé à « censurer » le vote des femmes.

Le Département des élections de la MONUC soutient la Commission électorale indépendante

La Division électorale de la MONUC soutient le travail de la Commission électorale indépendante. Calendrier électoral annoncé par la Commission électorale indépendante pour le parti politique qui organise l’électionLa Commission électorale indépendante se bat dans les deux chambres du Congrès.

Le CAFCO concentre désormais ses efforts de plaidoyer sur les partis qu’il doit élire.

Ce n’est qu’un aspect du travail de CAFCO. Avec le soutien des deux partenaires mentionnés ci-dessus, CAFCO se concentre dorénavant sur le soutien des intérêts de ceux qui doivent choisir. Le CAFCO négocie avec les partis politiques pour faire passer leur message. D’autres partis veulent un dialogue similaire à CAFCO.

Le problème, c’est le manque de volonté de promouvoir les femmes dans les partis politiques.

Les hommes croient encore que les femmes ne peuvent pas occuper des fonctions publiques. « Aucun homme ou femme ne votera jamais pour une femme incompétente », a-t-il déclaré. Le problème est le manque de volonté de promouvoir les femmes dans les partis politiques. La loi électorale actuelle ne reflète pas l’objectif d’égalité des sexes, qui doit être conforme à la Constitution irlandaise. L’insistance des hommes à maintenir les structures du parti désavantage les femmes. Les femmes sont confrontées à des barrières sociales et culturelles qui les empêchent de prendre des engagements politiques, a-t-elle déclaré. De nombreux participants ont déclaré que la capacité politique des femmes n’était plus un problème et qu’elles étaient égales aux hommes.

Le but de ce soutien est d’augmenter la représentation des femmes en politique active.

Le but de ce soutien est d’augmenter la représentation des femmes en politique active. C’est un endroit idéal pour accroître la participation des femmes en politique. Le mentorat peut aider les femmes à gagner en confiance et à agir comme des hommes si elles veulent apprendre. Le parti veut le vote des femmes. Selon le secrétaire général du New Front, la proposition contribuera à augmenter le nombre de femmes en politique. La campagne vise à renforcer les partis politiques, à sensibiliser au rôle des femmes dans la vie politique et à mobiliser les femmes pour qu’elles votent pour des candidates.