Le blog du citoyen
Le Président de la République Démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, a assisté à la célébration du jubilé d’argent de l’évêque du diocèse de Mbuji-Mayi, Bernard Kasanda au stade Kashala Bonzola en prêchant l’unité entre l’Eglise et le pouvoir. Le président a dénoncé les pratiques qui divisent les Congolais, appelant l’Eglise à rester fidèle à sa mission première. Les membres de la communauté catholique ont remercié le président pour son soutien aux personnes vulnérables.
L’article traite des préoccupations autour des élections en République démocratique du Congo. Martin Fayulu, leader de l’ECIDE, parti d’opposition, s’est déclaré prêt à rencontrer le bureau de la CENI pour discuter des questions qui divise la classe politique sur le processus électoral. Il a également appelé à un audit indépendant du fichier électoral pour garantir des élections crédibles. La CENI a annoncé des rencontres avec des leaders politiques pour trouver des solutions réalistes pour un processus électoral plus inclusif. Les organisations de la société civile ont appelé à la mobilisation générale pour garantir des élections crédibles. En somme, les prochaines élections doivent être transparentes et respecter le choix du peuple pour permettre au pays d’avancer sur la voie de la démocratie et de la stabilité politique.
Les élections législatives en République Démocratique du Congo approchent et les enjeux sont énormes. Le ministre de la Communication et Média, Patrick Muyaya, a rassuré quant à la volonté du gouvernement d’assumer ses responsabilités malgré le contexte sécuritaire difficile et la guerre dans l’est du pays. La CENI a convoqué l’électorat et souhaite rencontrer les leaders politiques de l’opposition pour explorer des solutions réalistes. Tous les acteurs doivent travailler ensemble pour garantir la crédibilité du processus électoral et sa réussite, dans l’intérêt de la paix et de la stabilité en RDC.
La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) en République Démocratique du Congo prévoit des rencontres avec les leaders politiques, y compris ceux de l’opposition, afin d’examiner des solutions réalistes pour un processus électoral plus inclusif.
Cependant, une certaine opposition politique et société civile s’entête à contester l’approche de l’actuel dirigeant de la CENI sur le processus électoral en cours. Malgré cela, la CENI continue son travail en vue de l’organisation de ces élections transparentes et sans fraude.
Le pays connaît une détérioration de sa situation sécuritaire avec des affrontements meurtriers entre les Fardc et les miliciens twa à Moba. Le président Félix Tshisekedi confirme son engagement pour la sécurité et la stabilité en RDC grâce à des actions répressives envers les délinquants.
Le pays prépare également les IXes jeux de la Francophonie qui se tiendront à Kinshasa en 2023.
Résumé : Les élections législatives nationales en République Démocratique du Congo auront lieu du 26 juin au 15 juillet. Les candidats doivent répondre à certains critères et la promotion de la diversité (notamment la présence des femmes et des jeunes) est recommandée pour les candidats indépendants, les partis et les regroupements politiques. Les Congolais vivant à l’étranger peuvent également se faire enregistrer pour voter. Les candidats doivent fournir plusieurs documents et une preuve de paiement de 1.600.000 francs congolais pour chaque siège. Ces élections représentent une opportunité pour les Congolais de faire entendre leur voix et de promouvoir la diversité dans les instances gouvernementales.
L’article rapporte que le député national de Sakania, Anaclet Kabeya, a été accueilli en héros par ses électeurs à son retour dans son territoire ce jeudi 22 juin 2023. Il a remercié Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour les réalisations dans la province du Haut-Katanga, tout en appelant à la lutte contre le tribalisme et à la mobilisation pour la réélection du président. Le contexte politique, électoral et sécuritaire complexe en RDC est également évoqué, avec une insistance sur la nécessité de la vigilance et de la coopération pour garantir la sécurité à l’est du pays.
L’opposition politique congolaise s’est réunie à Kinshasa malgré les tentatives d’empêchement du pouvoir en place. Les responsables politiques présents ont dénoncé l’échec du régime actuel, l’insécurité grandissante, la vie chère, l’instabilité économique et le chômage des jeunes. Ils ont appelé à la fin de la fraude électorale et à une refondation profonde du pays, tout en sensibilisant la population sur les enjeux électoraux à venir. Seul Martin Fayulu a pu prendre part à l’événement.
Le Président Félix Tshisekedi s’est récemment rendu à Kananga et Mbuji-Mayi dans le cadre de sa politique de développement des provinces du pays. Il a lancé plusieurs projets de réhabilitation et de construction d’infrastructures ainsi qu’un programme de lutte anti-érosive financé par la Banque Mondiale. Il a également participé à des événements locaux et multiplié les rencontres avec des acteurs politiques et de la société civile afin de définir les projets prioritaires de chaque province.
Lors de leur assemblée plénière ordinaire, les évêques catholiques congolais ont salué les efforts du gouvernement pour ramener la paix en RDC, mais ont exprimé leurs inquiétudes face à la multiplication des groupes armés et à la persistance de l’insécurité, en particulier dans l’est du pays. Ils ont également dénoncé l’activisme de la Brigade Spéciale de l’UDPS, Force du Progrès, et souhaité que leurs recommandations soient prises en compte pour la réduction du train de vie des institutions, le renforcement de la cohésion nationale, et la reconsidération de l’état de siège. Enfin, la mise en scène du conflit Teke-Yaka pour des intérêts politiques et économiques est vigoureusement dénoncée.
La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) a lancé un appel vibrant au peuple congolais à se réveiller face à la situation socio-pastorale du pays. Les évêques ont également exprimé des inquiétudes quant au processus électoral en cours, en particulier l’absence d’un cadre de concertation tripartite, le manque de données complètes des Centres d’Inscription, le détournement de matériels électoraux sensibles et l’absence d’une contre-expertise crédible. La CENCO a insisté sur la nécessité d’élire des dirigeants crédibles pour garantir la stabilité et le bien-être de la population.