Le blog du citoyen
Trente-six personnes, dont quatre casques bleus de l’ONU, ont été tuées lors de violentes manifestations dans l’est la semaine dernière. Les manifestants ont accusé la mission de ne pas protéger les civils des forces de la milice qui ont semé le chaos dans la région pendant des années.
« Le Congo est de retour », a-t-il déclaré, présentant le Congo aux investisseurs et aux banquiers.
L’ancien gouverneur de l’Ituri, Jean Bamanisa Saidi, s’est également prononcé contre la loi martiale. Le président Félix Tshisekedi s’emploie à rétablir la stabilité le long de la frontière orientale du Congo.
Il est accusé d’avoir détourné plus de 369 millions de dollars sans papiers. À sa retraite, il a déclaré qu’il souhaitait que le gouvernement ait une chance de retrouver sa légitimité.
La partie américaine a répété à plusieurs reprises que cette déclaration était crédible. Les troupes congolaises, malgré le retrait, le fou était un « appât »
Dans tout conflit armé non international, au moins une partie doit être un groupe armé non étatique. Le DIH continuera de s’appliquer quelles que soient les fluctuations de l’intensité de la violence.
Les militants n’ont pas précisé où ils se retiraient. Le M23 a été critiqué pour avoir continué à se battre malgré la signature d’un accord de cessez-le-feu en novembre de l’année dernière.
Un rapport de Human Rights Watch accuse les insurgés de viols répétés et d’exécutions sommaires.
Il a entendu des informations détaillées sur les activités de la Fondation pour le génie civil. Le ministre a également présenté les derniers travaux de l’Université officielle de Mbuji-Maji.
Human Rights Watch : « Une fois de plus, les forces congolaises recourent à la méfiance et à des pratiques destructrices consistant à utiliser des groupes radicaux opprimés comme mandataires » Les FDLR ont exécuté Kaseba Nyangezi, 25 ans, d’ascendance mixte Hutu-Tutsi.