Catégorie : Internationale

Dans cet extrait percutant, nous découvrons la collaboration de l’Agence de Développement de l’Union Africaine (AUDA NEPAD), de la SADC et du Programme Alimentaire Mondial (PAM) pour opérationnaliser la déclaration de Kinshasa sur la transformation rurale en Afrique Australe. Cette initiative fait suite au Sommet quadripartite qui a mis en avant l’urgence d’apporter une aide alimentaire aux populations touchées dans l’est de la RDC. La retraite de deux jours, dirigée par des représentants de l’AUDA NEPAD, du PAM et de la SADC, vise à concrétiser les décisions prises lors du sommet. Cette démarche soutient également le troisième forum africain du développement rural qui a souligné l’importance du développement rural comme moteur économique en Afrique. Ces initiatives visent à améliorer les conditions de vie des populations rurales en mettant l’accent sur l’agriculture, la sécurité alimentaire et la durabilité environnementale, avec l’espoir de créer un réel changement dans la région.

La coopération entre la RDC et le Congo-Brazzaville est mise en lumière lors de la visite officielle du président Sassou Nguesso à Kigali. Les ministres de la communication et médias des deux pays soulignent l’importance de respecter la liberté diplomatique de chaque nation et de favoriser un dialogue constructif basé sur le respect mutuel. La coopération bilatérale entre les deux nations est basée sur des valeurs fraternelles et la recherche de la paix et de la sécurité dans la région.

La journée internationale de la femme africaine met à l’honneur les femmes du Nord-Kivu qui font preuve d’un courage et d’une détermination exceptionnelle malgré les nombreux défis auxquels elles sont confrontées. Nelly Lumbulumbu, coordinatrice de la plate-forme des organisations féminines « Sauti ya mama mkongomani », souligne l’engagement de ces femmes face à l’insécurité et aux traditions qui freinent leur développement. Elle encourage leur lutte pour l’égalité des genres et rappelle l’importance de les soutenir pour construire un avenir meilleur pour la région. La journée internationale de la femme africaine est l’occasion de célébrer leur résilience et leur engagement, et de leur apporter le soutien nécessaire pour leur épanouissement et leur participation active au développement de la société.

Dans cet article, on souligne l’importance de prévenir les discours de haine pendant les élections en sensibilisant les étudiants de Beni, en RDC. Les étudiants ont participé à un café politique organisé par la MONUSCO, où ils ont été encouragés à ne pas céder aux discours de haine et à éviter les tensions. La non-violence et la résolution pacifique des conflits ont été également abordées, ainsi que l’importance de maintenir des relations harmonieuses au sein de la communauté étudiante. L’initiative vise à créer un climat électoral apaisé en promouvant la tolérance et le respect mutuel.

La secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo, ne sera pas présente aux Jeux de la Francophonie à Kinshasa. Cette absence est probablement due aux relations tendues entre la RDC et le Rwanda. Malgré tout, les préparatifs se poursuivent pour faire de cet événement un succès et promouvoir les valeurs de la Francophonie.

Lors du deuxième forum Russie-Afrique de Saint-Pétersbourg, la Russie et la République démocratique du Congo (RDC) ont signé un protocole d’exemption réciproque des visas. Cette mesure vise à renforcer les liens entre les deux pays et faciliter les échanges commerciaux et culturels. Cette actualité marque un pas important dans la coopération entre la Russie et l’Afrique, ouvrant des opportunités pour de futurs investissements et partenariats. La RDC, riche en ressources naturelles, représente un marché attractif pour la Russie qui souhaite étendre son influence sur le continent africain. Cet accord de visa exemplifie la volonté des deux nations de renforcer leur coopération mutuelle dans divers domaines, allant de l’économie à la politique.

La Russie et la République démocratique du Congo (RDC) ont récemment signé un protocole d’exemption réciproque des visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques et de service. Cette décision marque une étape importante dans les relations entre les deux pays, facilitant les déplacements des diplomates et contribuant au renforcement des liens bilatéraux.

L’exemption réciproque des visas permettra aux détenteurs de passeports diplomatiques et de passeports de service de voyager sans restriction entre la Russie et la RDC. Cela facilitera les échanges diplomatiques, les rencontres bilatérales et le renforcement de la coopération dans de nombreux domaines, tels que le commerce, la sécurité et la culture.

Cette mesure est également un signe de confiance entre les deux pays, montrant leur volonté de favoriser les échanges et de renforcer leur partenariat stratégique. Elle facilitera également le travail des diplomates et des fonctionnaires, leur évitant d’avoir à passer par le processus fastidieux d’obtention de visas à chaque voyage.

De plus, cette exemption réciproque des visas pourrait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités économiques entre la Russie et la RDC. En facilitant les déplacements des entreprises et des investisseurs, elle encourage les échanges commerciaux et favorise le développement des relations économiques entre les deux pays.

En conclusion, la signature du protocole d’exemption réciproque des visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques et de service entre la Russie et la RDC marque une étape importante dans les relations bilatérales. Cette mesure facilitera les déplacements des diplomates, contribuera au renforcement des liens économiques et culturels, et ouvrira de nouvelles opportunités de coopération entre les deux pays.

Dans cet article, nous discutons de la préoccupation exprimée par la population de Lubero-centre, dans la province du Nord-Kivu en RDC, concernant le retard dans la mise en œuvre du programme PDDRC-S (Programme de désarmement, démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation). Lors de la visite de la cheffe de la Monusco, la population a sollicité son soutien pour plaider en faveur de la concrétisation de ce programme. Les associations locales de femmes ont également exprimé leur engagement à lutter contre l’insécurité et ont demandé le soutien total de la Monusco. Toutefois, les différentes couches sociales de Lubero-centre ont souligné les conséquences du retard du programme sur la situation sécuritaire, avec l’émergence de nouveaux groupes armés dans la région. La population craint que si le programme tarde à se matérialiser ou échoue, certains miliciens pourraient retourner dans la brousse et d’autres pourraient s’en prendre à la population civile et aux forces armées congolaises. Afin de remédier à cette situation, la population demande à la Monusco de plaider auprès du gouvernement pour le démarrage effectif du PDDRC-S et le renforcement de la présence militaire et policière dans la région. La visite de la cheffe de la Monusco à Lubero-centre a permis de mettre en lumière les préoccupations de la population et de renforcer la volonté de mettre en œuvre des mesures effectives pour garantir la sécurité et la stabilité dans la région. La Monusco s’engage à soutenir ces efforts et à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement congolais pour atteindre cet objectif.

L’AUDA NEPAD, la SADC et le PAM ont organisé une retraite en Afrique du Sud pour opérationnaliser la déclaration de Kinshasa sur la transformation rurale en Afrique australe. Cette initiative fait suite au sommet quadripartite sur l’est de la RDC, où l’accent a été mis sur l’urgence d’apporter une aide alimentaire aux populations touchées. La retraite vise à trouver des solutions concrètes et à mettre en œuvre les décisions prises lors du sommet. Cette collaboration renforcée montre l’engagement des organisations à favoriser la transformation rurale et le développement de l’Afrique australe. Grâce à des mesures concrètes, l’insécurité alimentaire et les défis auxquels sont confrontées les populations rurales pourront être surmontés pour un avenir plus prospère pour tous.

Au moins 283 déplacés venant de Kwamouth, en République démocratique du Congo, ont fui l’insécurité causée par la milice Mobondo. Actuellement à Kikwit, ces déplacés sont confrontés à des conditions de vie précaires, avec des difficultés pour se nourrir et dormir convenablement. Cette situation a déjà entraîné le décès de 10 enfants parmi les déplacés. Le retour des déplacés dans leur région d’origine dépend du rétablissement de la paix. Il est nécessaire de fournir une assistance urgente à ces personnes pour leur permettre de vivre dans des conditions décentes. Le gouvernement et les acteurs humanitaires doivent se mobiliser pour faire face à cette crise humanitaire.