
L’article met en évidence les inquiétudes croissantes concernant l’actualité en République centrafricaine. L’examen des résultats du référendum du 30 juillet, qui permettrait au président Touadéra de briguer un troisième mandat, suscite des réactions vives de la part de l’opposition. Le silence de la communauté internationale sur ce processus est critiqué, certains y voyant un soutien tacite à la « présidence à vie ». La neutralité affichée par les ambassadeurs occidentaux est également remise en question, avec des craintes d’une montée de l’influence russe. Des diplomates estiment que des résultats non crédibles pourraient entraîner des condamnations internationales. La communauté internationale doit donc faire preuve de vigilance et de fermeté pour garantir le respect des principes démocratiques et des droits de l’homme en République centrafricaine.