Dans cet article, Fatshimetrie met en lumière l’importance de la création d’une liste des victimes de la rébellion de 1964 à Kisangani, en République Démocratique du Congo. L’initiative vise à informer les visiteurs du mausolée des Martyrs sur l’histoire tragique et méconnue de ce lieu emblématique. Mme Mimi Basila souligne l’importance de cette liste pour sensibiliser le public sur les martyrs de l’indépendance. L’article met en avant les efforts de la Division provinciale du Tourisme de la Tshopo pour valoriser et promouvoir les sites touristiques locaux, sous l’impulsion du gouverneur Paulin Lendongolia. Cette approche journalistique contribue à sensibiliser le public à l’importance de préserver le patrimoine historique de la région et à promouvoir le développement culturel et touristique local.
Catégorie : Histoire
En 2022, la CPI a lancé une initiative de réparations collectives pour les victimes des atrocités en Ituri commises par Bosco Ntaganda. Les victimes peuvent se porter candidates pour recevoir des services personnalisés afin de favoriser leur réhabilitation. Ce processus d’identification se poursuivra jusqu’en 2025, avec un budget de trente-deux millions de dollars. En parallèle, Ntaganda a été transféré en Belgique pour purger sa peine, marquant ainsi une avancée dans la lutte contre l’impunité.
Il y a cinquante ans, Mohamed Ali et George Foreman se sont affrontés dans un combat légendaire à Kinshasa, surnommé « Le combat du siècle ». Organisé sous la direction du Maréchal Mobutu Sese Seko, cet événement a propulsé le Zaïre sur la scène internationale. Malgré un report d’un mois en raison d’une blessure de Foreman, l’attente et l’excitation ont atteint des sommets. Les négociations pour les cachets des boxeurs ont révélé l’ampleur de l’événement. Cinquante ans plus tard, le combat reste un symbole de courage et de détermination, laissant un héritage mémorable dans le monde de la boxe.
Le débat sur la béatification du roi Baudouin Ier de Belgique met en lumière son héritage complexe et controversé. Alors que ses actions, telles que son refus de ratifier la loi sur l’avortement en 1992, illustrent ses valeurs morales, des zones d’ombre persistent, notamment son rôle discuté dans la décolonisation du Congo en 1960. Les appels à une enquête sur son implication dans l’assassinat de Patrice Lumumba soulignent la nécessité d’examiner équitablement son héritage avant sa sanctification. Cette controverse souligne l’importance de traiter l’histoire avec nuance et d’aborder les questions de mémoire collective et de responsabilité historique de manière rigoureuse.
La République Démocratique du Congo mène une vaste campagne de vaccination contre le Monkeypox en 2024, avec des résultats prometteurs dans plusieurs provinces. Malgré des défis logistiques, l’OMS vise à vacciner 3 millions de personnes d’ici la fin de l’année. Cette initiative souligne l’importance de la coopération internationale pour protéger la santé publique mondiale et renforcer les mesures de prévention des épidémies.
La ville de Goma s’apprête à célébrer les 65 ans d’érection canonique de son diocèse catholique, un événement historique marqué également par les 50 ans d’épiscopat de Mgr Faustin Ngabu. Les festivités incluront une cérémonie religieuse au Sanctuaire d’adoration, des activités culturelles et un hommage vibrant à l’héritage spirituel de la région. Ces moments de partage et de fraternité soulignent la résilience et la profondeur spirituelle de la communauté religieuse de Goma, promettant des souvenirs inoubliables et un avenir prometteur.
Un moment historique s’est déroulé à Kisangani alors que l’église catholique a enfin reçu une indemnisation significative pour les pertes subies lors de la guerre de six jours en 2000. Monseigneur Djadi Léonard a reçu un chèque de 2 500 000 USD des mains du Président Tshisekedi, symbolisant la reconnaissance des souffrances endurées par la communauté religieuse. Cette étape de réparation représente un pas vers la guérison et la reconstruction des vies brisées et des lieux saints profanés. C’est un moment chargé d’émotions et d’espérance, où la solidarité et la compassion triomphent pour bâtir un avenir meilleur.
L’article met en lumière les avancées significatives du secteur minier en République Démocratique du Congo, avec la Société générale des carrières et des mines (GECAMINES) à l’avant-garde. L’exportation historique de Germanium traité à Lubumbashi marque un tournant majeur dans la stratégie de développement, renforçant la position du Congo comme acteur clé dans le secteur des métaux stratégiques. Grâce à des initiatives comme l’inauguration d’une nouvelle usine de traitement par la filiale STL, le Congo aspire à devenir un hub mondial des métaux stratégiques, favorisant la création de valeur ajoutée et renforçant ses capacités industrielles. La collaboration avec des partenaires internationaux et la vision ambitieuse de la GECAMINES témoignent d’une démarche novatrice pour inscrire le Congo parmi les grandes nations minières du monde, en favorisant la transformation positive du pays vers l’émergence économique et industrielle.
Un accord historique a été signé au Maniema, province de l’Est de la République Démocratique du Congo, instaurant une taxe de 300 francs congolais par litre sur les produits pétroliers. Cette taxe vise à financer le développement économique et l’infrastructure routière de la région, marquant ainsi une avancée majeure. Le gouverneur Moussa Kabwankubi a travaillé activement pour instaurer cette taxe, assurant une gestion transparente des fonds collectés par la FEC. Les pétroliers et la société civile ont salué cette initiative comme un pas important vers le désenclavement et le développement du Maniema.
Le Président Félix Tshisekedi montre un fort intérêt pour le développement des provinces issues du démembrement de la province Orientale en République Démocratique du Congo. Les gouverneurs locaux saluent son engagement en faveur de la promotion du développement à la base. Cette initiative est perçue comme un signal positif en faveur d’un développement équilibré et inclusif du pays. Les autorités régionales collaborent étroitement avec le Président pour dynamiser le développement de ces régions autrefois marginalisées, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle ère de prospérité et de progrès pour l’ensemble du pays.