Le Mobutisme, un modèle politique controversé, a marqué l’histoire de la République Démocratique du Congo. Sous Mobutu Sese Seko, ce régime autoritaire a laissé un héritage complexe. Son contrôle absolu du pouvoir, symbolisé par le « vote vert », a influencé d’autres dirigeants africains. Malgré les changements politiques, l’influence du Mobutisme persiste, comme le montre le récent épisode électoral au Rwanda. Il est essentiel de rester vigilant face aux dérives autoritaires pour préserver la démocratie.
Catégorie : Histoire
L’article explore l’impact du Mobutisme à l’époque des années 1970-1980 en République Démocratique du Congo, mettant en lumière le contrôle politique autoritaire de Mobutu Sese Seko. Cette influence s’est étendue à d’autres dirigeants africains qui ont imité le style et les pratiques du leader congolais, créant un culte de la personnalité et un autoritarisme exacerbé. Malgré la disparition de Mobutu, son modèle demeure présent dans certaines pratiques politiques contemporaines, soulevant des interrogations sur la démocratie et les libertés individuelles en Afrique et dans le monde. L’article souligne l’importance de rester vigilant face aux abus de pouvoir et de tirer des leçons du passé pour construire un avenir démocratique et équitable.
En juillet 2024, l’Université de Kinshasa a honoré 21 cadres administratifs pour leur engagement et leur loyauté lors d’une cérémonie émouvante. Ces membres ont consacré plus de cinquante ans de leur vie au service de l’Unikin. Les directeurs chefs de service honorés ont reçu des témoignages de reconnaissance et ont été promus à l’honorariat pour leur professionnalisme et leur dévouement. La célébration souligne l’importance de l’excellence et de la continuité des services administratifs, mettant en lumière les valeurs d’engagement et d’intégrité au sein de l’institution académique.
Dans un contexte crucial pour la protection des droits humains en République Démocratique du Congo, l’accord historique entre l’Initiative pour la paix et les droits humains (iPeace) et la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) promet un renforcement majeur des actions en faveur des populations congolaises. Cette collaboration vise à garantir un accès équitable à la justice et à renforcer l’efficacité des interventions dans le domaine des droits humains. Avec un nouvel élan vers la justice et la solidarité, cette union annonce un avenir plus juste pour tous les citoyens congolais.
L’article met en lumière les résultats récents de la 58e session ordinaire de l’examen d’État, dévoilant les meilleurs lauréats de cinq provinces éducationnelles en République Démocratique du Congo. Ces résultats témoignent de l’excellence académique et du dévouement des étudiants, ainsi que de l’importance de l’éducation pour le développement individuel et collectif. Les performances remarquables soulignent l’engagement des élèves, des enseignants et des autorités éducatives, mettant en avant l’importance de l’investissement dans l’éducation pour une société prospère. Ces réussites rappellent l’importance de la détermination et de la passion dans la poursuite de l’excellence académique, encourageant les étudiants à poursuivre leurs rêves et à viser toujours plus haut.
Dans un contexte d’évolution constante du secteur statistique en République Démocratique du Congo, la formation des enquêteurs de l’Institut National de Statistique à Kisangani revêt une importance cruciale. Cette initiative vise à renforcer les compétences des acteurs chargés de collecter, traiter et analyser les données pour garantir des résultats pertinents et représentatifs. L’enquête à venir, intitulée « ECM 2024 », se concentrera sur l’étude de la pauvreté à différentes échelles pour orienter les politiques de développement socio-économique. Avec une équipe formée de 46 enquêteurs, cette démarche supervisée contribuera à produire des données fiables pour des décisions éclairées. Le gouvernement provincial s’est engagé à soutenir cette initiative pour améliorer les conditions de vie des ménages et favoriser le développement durable de la région. En renforçant la capacité du pays à produire des statistiques de qualité, cette formation des enquêteurs est essentielle pour une gestion efficace des politiques publiques.
L’article met en lumière la détérioration de la route reliant Kisangani à Ubundu, dans la province de la Tshopo en RDC. Cette voie essentielle est devenue impraticable en raison de multiples bourbiers, mettant en péril les déplacements des habitants et l’approvisionnement en biens de première nécessité. Face à cette situation critique, les usagers lancent un appel aux autorités pour la réhabilitation de l’axe routier et ferroviaire, crucial pour le développement économique de la région. L’investissement dans les infrastructures est indispensable pour garantir la sécurité et la connectivité, et améliorer la qualité de vie des populations.
L’article raconte l’hommage émouvant rendu à Mi-Amor, griot-chanteur de la tribu Songye, à Kinshasa pour commémorer le premier anniversaire de sa disparition. L’événement a réuni la communauté et les notabilités songyes, mettant en lumière l’impact de l’artiste dans la préservation de la culture songye. Mi-Amor, reconnu pour ses chansons emblématiques, a laissé un héritage musical et culturel précieux, inspirant les générations futures. Sa légende perdure, guide les générations à travers les traditions de la culture songye. Le député Eliezer Tambwe a souligné l’importance de préserver cet héritage artistique.
La République Démocratique du Congo fait face à des enjeux majeurs concernant l’encadrement des réfugiés et des personnes déplacées internes. Une rencontre entre le Président de l’Assemblée Nationale et la Représentante du HCR a mis en lumière la nécessité d’adopter des lois pour protéger ces populations vulnérables. Des projets de lois sont en attente d’adoption, notamment sur les personnes déplacées internes et les apatrides, ainsi que des révisions du Code de la Famille. L’engagement politique est fort pour structurer ce secteur vital et garantir la dignité et les droits des réfugiés et des déplacés internes en RDC.
L’article rapporte une série d’attaques meurtrières à Beni, province du Nord-Kivu, perpétrées par les rebelles des ADF. Le bilan humain est alarmant, avec 37 victimes en seulement trois jours. La société civile locale demande une intervention urgente des FARDC et de l’UPDF pour contrer la menace terroriste et protéger la population civile. Malgré une réaction tardive des autorités, des opérations sont en cours pour poursuivre les assaillants. La situation reste évolutive, et la solidarité envers les habitants de Beni est essentielle pour restaurer la paix et la stabilité dans la région.