Dans son dernier numéro, la revue Fatshimetrie met en lumière l’appel du président zimbabwéen, Emmerson Mnangagwa, pour la documentation et la préservation de l’histoire africaine. Il souligne l’importance du Musée de la libération africaine à Harare, en tant que symbole de la transmission fidèle de l’héritage historique du continent. Ce projet emblématique incarne la volonté de sauvegarder la mémoire des luttes de libération du peuple africain contre le colonialisme, offrant un espace d’apprentissage et de célébration pour les générations présentes et futures. Ce musée promet de soutenir la vérité et la justice en revisitant le passé de l’Afrique et en renforçant son identité collective.
Catégorie : Histoire
L’article rapporte la cérémonie de béatification de quatre prêtres martyrisés à Uvira, en République démocratique du Congo. Sous la présidence du Cardinal Fridolin Ambongo, la demande de béatification a été acceptée au nom du Pape François. L’événement a réuni une multitude de fidèles et a souligné l’importance du témoignage de foi et du dévouement face aux persécutions. Cette cérémonie marque un moment historique pour l’Église congolaise et encourage les croyants à suivre l’exemple de ces prêtres courageux dans leur engagement religieux.
Dans sa thèse « L’épistémologie Wittgensteinienne du langage et la performativité du dire Shi », Marcellin Lunanga Mukunda explore les limites du langage et ses implications métaphysiques sur l’expérience humaine. En s’appuyant sur la philosophie de Wittgenstein, l’auteur met en lumière l’importance des paradigmes métaphysiques dans la structuration du langage et souligne la dualité des formules incantatoires en Afrique. Sa recherche ouvre des perspectives novatrices pour repenser les fondements de la communication et de la cognition, malgré une critique sur l’oubli de la dimension transcendantale du langage dans l’épistémologie Wittgensteinienne. La thèse de Mukunda offre une contribution significative à la réflexion philosophique contemporaine sur la nature du langage et sa puissance transformative.
La béatification de quatre martyrs en République Démocratique du Congo, en hommage à leur courage face à l’oppression, est un moment poignant de l’histoire religieuse. Ces missionnaires, dont Albert Joubert, prêtre congolais, et les missionnaires italiens Carrara, Didonè et Faccin, ont sacrifié leur vie pour défendre leurs convictions. Leur béatification célèbre leur courage, leur abnégation et leur dévotion envers autrui, rappelant l’importance de la foi et de la solidarité face à l’adversité. Ces Bienheureux martyrs sont une source d’inspiration intemporelle pour les croyants et les hommes de bonne volonté, témoins de la force de la foi dans les moments les plus sombres de l’histoire.
L’intronisation du nouveau Mwami Alexandre Kabare Rugemaninzi III Nabushi 30 à Kabare a été un événement historique empreint de traditions et de célébrations. La cérémonie a rassemblé la communauté dans une ambiance festive, marquant le début d’une nouvelle ère pour la région. En héritant du titre de Mwami, Alexandre Kabare assume un rôle crucial en tant que chef de chefferie, symbolisant l’histoire et l’avenir de son peuple. Son règne est attendu avec espoir, promettant un avenir prospère sous sa gouvernance bienveillante. Kabare célèbre ainsi la continuité de sa lignée royale tout en se tournant vers un avenir de progrès et d’harmonie.
L’article relate l’intronisation du nouveau chef coutumier, Mwami Alexandre Kabare Rugemanizi III, dans la région du Sud-Kivu en République démocratique du Congo. À seulement 28 ans, il incarne une nouvelle génération de leaders alliant tradition et modernité. La cérémonie, empreinte de respect pour les coutumes shi, marque un hommage à son père défunt et ouvre de nouvelles perspectives pour l’avenir de la région de Kabare. Cette passation de pouvoir symbolise le lien entre histoire et modernité, mettant en lumière la richesse et la diversité de la culture congolaise.
L’intronisation du nouveau Mwami Alexandre Kabare Rugemaninzi III Nabushi 30 à Kabare est un événement empreint de tradition et de symbolisme. Cette cérémonie marque la succession dynastique au trône, avec Alexandre incarnant la continuité et l’héritage ancestral de la Chefferie. La présence massive des habitants et des notables témoigne de l’importance de cet événement à la fois sur le plan politique et culturel. Les titres de Rugemaninzi III et Nabushi 30 soulignent l’ancienneté et la richesse historique de cette lignée royale. Cette intronisation célèbre l’unité communautaire et l’attachement aux valeurs ancestrales, avec Alexandre s’engageant à perpétuer la grandeur de la dynastie du Bushi.
L’article relate l’histoire de la libération de Sa Majesté le Prophète Joseph MUKUNGUBILA le 7 mars 1999, marquant un tournant crucial dans l’histoire du Congo. Son arrestation injuste à ANKORO, sa détention à MANONO et son refus de se soumettre aux pressions politiques témoignent de sa détermination à défendre son pays contre l’occupation rwandaise. Grâce à l’intervention de personnalités courageuses, il a finalement été libéré, devenant un symbole de résistance et de détermination. En ce jubilé d’argent, son exemple inspire les générations futures à poursuivre le combat pour un Congo libre, prospère et juste.
Dans cet extrait d’article, le Professeur Theo Muamba aborde la question de Kamuina Nsapu et son impact sur la désignation des chefs coutumiers au sein du pouvoir traditionnel. Il souligne l’importance de tirer des leçons de l’histoire pour éviter les tragédies futures, mettant en garde contre les rébellions éventuelles des chefs coutumiers. Il prône une gestion transparente et respectueuse du pouvoir traditionnel par le pouvoir politique pour assurer une gouvernance harmonieuse. Cette réflexion invite à repenser et améliorer le système de désignation et de gouvernance des autorités traditionnelles en République Démocratique du Congo, favorisant ainsi une gouvernance plus juste et équilibrée au sein des communautés.
La ministre d’État de l’Éducation nationale en République démocratique du Congo a récemment félicité personnellement les meilleurs lauréats de l’examen d’État 2024, marquant ainsi son engagement envers l’excellence académique. Cette initiative inédite a été saluée par les inspecteurs provinciaux et met en lumière l’importance de la reconnaissance des succès scolaires. En célébrant publiquement les élèves les plus méritants, la ministre d’État valorise l’éducation de qualité et encourage les jeunes congolais à viser l’excellence.