La province de la Tshopo en République démocratique du Congo aspire à devenir un acteur majeur sur la scène internationale du cacao. Dominique Kasimba, fondateur de Dokas, ambitionne de faire briller le « Cacao Tshopo » à l’échelle mondiale. Malgré une production actuelle modeste, le potentiel de qualité exceptionnelle du cacao de la Tshopo suscite l’intérêt des chocolatiers suisses. Grâce au Programme de mise en valeur des savanes et forêts dégradées (PSFD), la superficie cultivée en cacao devrait augmenter pour atteindre une production annuelle de 1 000 tonnes d’ici cinq ans. Ce modèle agroforestier promu par le PSFD, alliant cultures pérennes et vivrières, dynamise l’économie locale et favorise l’autosuffisance alimentaire. La création d’un label « Cacao Tshopo » permettrait de valoriser l’identité régionale et d’accroître la compétitivité sur les marchés internationaux, notamment dans le segment du cacao biologique en forte demande en Europe. Avec des perspectives économiques prometteuses et un positionnement stratégique, la Tshopo pourrait devenir un acteur clé du secteur du cacao à l’échelle mondiale.
Catégorie : Écologie
La République Démocratique du Congo se mobilise pour la protection de l’environnement et le développement durable, sous la direction du Président Félix Tshisekedi. Une récente réunion du Conseil des ministres à Mbuji-Mayi a mis en avant l’importance des enjeux environnementaux, notamment en préparation de la conférence internationale sur les paiements pour services environnementaux en Afrique centrale. Cette initiative vise à renforcer la conservation de la biodiversité et des écosystèmes tout en favorisant une gestion transparente des ressources naturelles. Grâce à une coopération internationale accrue et des changements dans la loi des finances pour 2025, la RDC montre son engagement en faveur d’un développement durable et inclusif.
Le 27 décembre 2024, le Président Félix Antoine Tshisekedi a présidé la 28e réunion du conseil des Ministres à Mbuji-Mayi, abordant des sujets clés tels que la situation sécuritaire et la protection de l’environnement. Des ajustements dans la loi des finances pour 2025 ont été discutés, ainsi que l’avancement du plan de relance de la Sotexki. Cette réunion illustre l’engagement du gouvernement envers le développement durable et le progrès en République démocratique du Congo.
Le commerce du coltan en République démocratique du Congo est gangrené par la contrebande, les groupes armés et la corruption. Ces activités alimentent un cycle de violence et de souffrance pour les civiles. La transparence et la traçabilité dans le secteur minier sont cruciales pour briser le monopole des réseaux criminels. Le drame humanitaire qui touche l’est de la RDC nécessite des mesures concrètes pour mettre fin à cette tragédie. Il est temps de soutenir le Congo dans sa quête de paix et de prospérité, en mettant un terme à l’exploitation scandaleuse de ses richesses.
La députée nationale Sophie Kakudji a attiré l’attention sur les conditions de vie difficiles des populations du Tanganyika, une province confrontée à de nombreux défis. Dans un discours poignant, elle a souligné les problématiques telles que les inondations à Kabalo, les coupures de routes à Manono, le manque de routes agricoles à Kongolo et Nyunzu. Elle a appelé à une attention particulière du chef de l’État pour trouver des solutions urgentes à ces problèmes qui impactent la vie quotidienne des habitants. Son message appelle à la solidarité et à la mobilisation pour améliorer les conditions de vie dans la région.
Le lancement de la campagne agricole 2024-2025 à Kindu, Maniema, a été marqué par un discours inspirant du ministre provincial de l’Agriculture, Asani Somwe, appelant à l’action et à la solidarité pour lutter contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté. La vision du gouvernement provincial de faire du Maniema un grenier agricole repose sur un engagement collectif. Des mesures radicales, telles que l’imposition d’ouverture des champs individuels et communautaires, et la dotation en semences, montrent la détermination des autorités à soutenir le secteur agricole. L’implication de chaque acteur de la chaîne agricole est essentielle pour garantir le succès de cette campagne, visant à faire du Maniema une province prospère et autonome sur le plan alimentaire.
Le Symposium sur la sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga met en lumière les avancées significatives dans la production agricole de la région, avec une hausse notable de la production de maïs. Malgré les progrès réalisés, un écart de 600 000 tonnes persiste entre la production actuelle et les besoins de la province. Le Professeur Kimuni souligne l’importance de diversifier les cultures pour répondre à la demande croissante. La collaboration entre l’Assemblée provinciale et l’Université de Lubumbashi permet d’identifier les défis socio-économiques et de proposer des solutions durables. Investir dans la diversification des cultures et soutenir les initiatives locales sont essentiels pour renforcer la sécurité alimentaire et promouvoir un développement durable dans la région.
Découvrez comment la République Démocratique du Congo a mis en place la gratuité de la maternité pour lutter contre la mortalité maternelle élevée. Une avancée essentielle vers une santé maternelle accessible à tous.
L’article met en lumière la triste réalité du manque de ressources dans la Province du Kasaï-Central en République Démocratique du Congo. Le gouverneur souligne le manque d’eau, d’électricité, de nourriture et d’infrastructures de base, plongeant la population dans une situation désastreuse. Les autorités locales se retrouvent confrontées à une urgence généralisée, appelant à des mesures concrètes pour reconstruire les infrastructures et améliorer les conditions de vie. Il est crucial d’agir rapidement pour sortir cette région de l’impasse et offrir un avenir meilleur à ses habitants.
La République Démocratique du Congo fait face à une grève historique des médecins affiliés au SYMAMED, protestant contre le manque de considération du gouvernement envers leur profession. Les revendications portent sur l’amélioration des conditions de travail et la régularisation des salaires en retard. Cette grève, déclarée radicale, met en lumière les difficultés persistantes du secteur de la santé et souligne l’urgence d’une intervention gouvernementale pour garantir des soins de qualité à la population congolaise.