La République démocratique du Congo a récemment été le théâtre d’un événement d’une importance cruciale pour l’avenir du pays : la conférence internationale sur la lutte contre la corruption. Organisée à Kinshasa, cette rencontre stratégique a réuni des inspecteurs des finances venant de différents pays africains. Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a été au cœur de cet événement en réitérant son engagement résolu à combattre ce fléau qui mine les institutions et compromet le développement du pays.
Dans un discours fort et déterminé, le Chef de l’État a souligné l’importance de mettre en place un environnement juridique et institutionnel plus solide pour lutter efficacement contre la corruption. Il a exhorté les participants, y compris les inspecteurs de la RDC, à redoubler d’efforts et de rigueur dans cette bataille essentielle pour l’avenir du pays.
La corruption a été décrite par le Président Tshisekedi comme une perversion morale et sociale, un fléau qui affecte non seulement les institutions publiques mais aussi la confiance des citoyens envers leur gouvernement. Cette détermination à éradiquer la corruption et à restaurer l’intégrité des institutions a été soulignée à plusieurs reprises par le Chef de l’État, qui a fait de cette lutte une priorité nationale.
Le Président Félix Tshisekedi a souligné que dans un pays aussi riche que la République Démocratique du Congo, la corruption constitue un frein cruel au développement. Elle entrave les investissements constructifs, fragilise les services publics, alimente l’injustice et creuse les inégalités. Face à cet enjeu majeur, il a salué le travail des inspecteurs généraux des finances et les a encouragés à persévérer dans leurs efforts pour promouvoir la probité morale au sein de l’administration.
Parallèlement à cette lutte contre la corruption, le Président Tshisekedi a lancé les états généraux du Portefeuille, visant à transformer les entreprises publiques en moteurs de prospérité pour le pays. En appelant à une gouvernance exemplaire et à des réformes audacieuses, le Chef de l’État a affiché une ambition claire : faire des entreprises du portefeuille de l’État des acteurs clés du développement national, générant des revenus, créant des emplois et contribuant au bien-être de tous les Congolais.
En définitive, la conférence internationale sur la lutte contre la corruption et les états généraux du Portefeuille représentent des étapes essentielles dans la volonté du Président Tshisekedi de bâtir une République démocratique du Congo plus juste, intègre et prospère. Ces initiatives marquent un tournant dans la politique de bonne gouvernance et de développement économique du pays, ouvrant la voie à un avenir plus prometteur pour tous ses citoyens.