L’héritage immortel d’Aunty Ayo l’Alagbon: Un hommage émouvant à une icône de la police nigériane

Dans les mémoires de nombreux Nigérians résonne le nom d’Aunty Ayo l’Alagbon, également connue sous le nom d’Aunty Ayo l’Alagbon, comme étant une figure centrale de la police nigériane. Son récent décès a suscité une vague d’émotions au sein de la communauté des forces de l’ordre et a été marqué par des hommages solennels lors de ses funérailles, où son héritage a été célébré et honoré.

Ayodele Dorcas Fadairo, née Salotun, a été inhumée au cimetière d’Ikoyi à Lagos, dans un emplacement choisi stratégiquement près du commandement d’Alagbon, symbolisant ainsi son lien indéfectible avec la force de police, même dans la mort. Sa dépouille a rejoint la terre le vendredi, entourée de membres de sa famille, d’officiers de police en activité et à la retraite, d’amis, et de membres de la communauté d’Igbara-Oke.

Son nom était déjà immortalisé dans la chanson du célèbre musicien de highlife Orlando Owoh, qui l’a glorifiée en tant qu’Aunty Ayo l’Alagbon. À travers sa musique, Orlando a loué sa dévotion et partagé ses expériences avec elle et d’autres officiers à Alagbon. Elle était respectée non seulement pour ses compétences en tant qu’officier de police, mais aussi pour sa compassion et sa gentillesse.

Née le 19 avril 1956 à Igbara-Oke, dans l’État d’Ondo, Aunty Ayo a rejoint la Force de police du Nigéria en 1975 et y a servi jusqu’à sa retraite en 2010, totalisant ainsi 35 années de service dévoué. Son décès le 28 septembre 2024 a laissé un vide dans la communauté des forces de l’ordre, mais son héritage perdure à travers les anecdotes partagées et les hommages rendus lors de ses funérailles.

Aunty Ayo l’Alagbon restera à jamais gravée dans l’histoire de la police nigériane, non seulement pour son professionnalisme exemplaire, mais aussi pour son humanité et son dévouement envers sa communauté. Sa mémoire continuera d’inspirer les générations futures à suivre son exemple de service et d’intégrité.