Dans la ville d’Abakaliki, lieu de l’annonce du chef Chaka Nweze, président de la commission des bourses d’études de l’État, un important pas a été franchi pour les 263 bénéficiaires du programme de bourses. L’objectif étant d’assurer un processus de départ sans accroc, des démarches spécifiques ont été mises en place.
Ainsi, pour garantir le bon déroulement de leurs études au Royaume-Uni, les bénéficiaires devront signer un engagement avec le gouvernement. Cet accord vise à s’assurer qu’ils ne déserteront pas leurs études une fois à l’étranger. En effet, le gouvernement s’engage à signer un accord avec les universités des bénéficiaires pour garantir leur retour dans l’État à la fin de leurs études.
Le président de la commission des bourses, M. Nweze, a souligné l’importance de cet investissement gouvernemental. En effet, des ressources considérables, environ 3 milliards de nairas, ont été allouées au programme de bourses nationales. Les bénéficiaires, provenant des 13 collectivités locales de l’État, ont obtenu des admissions dans diverses universités à travers le pays.
De plus, le gouvernement a investi environ 9 milliards de nairas dans des bourses d’études à l’étranger. Un montant supplémentaire de 500 millions de nairas sera dédié aux frais de vol, de visa et autres dépenses des bénéficiaires. Trois universités ont été sélectionnées pour accueillir les étudiants, et des efforts sont déployés pour répondre à toutes les exigences nécessaires avant leur départ.
Le professeur Humphrey Nwaobashi, membre de la commission des bourses, a encouragé les bénéficiaires à devenir de bons ambassadeurs de l’État. Il a souligné que le gouvernement avait consenti d’importants efforts pour leur offrir cette opportunité d’étudier à l’étranger. Les bénéficiaires auront 12 mois pour terminer leurs programmes et seront surveillés de près pour s’assurer qu’ils respectent les objectifs fixés pour leur séjour à l’étranger.
En conclusion, cette initiative de bourses d’études démontre l’engagement du gouvernement en faveur de l’éducation et du développement des jeunes du pays. Les bénéficiaires ont maintenant la responsabilité de tirer le meilleur parti de cette opportunité et de contribuer au retour sur investissement positif attendu par l’État.