A Kinshasa, la fondation « EKunda » a récemment mené une initiative louable en proposant une formation en esthétique à 23 femmes du quartier Bibua, dans la commune de la N’sele. Levant le voile sur un besoin crucial au sein de la société congolaise, cette action vise à promouvoir l’autonomie, l’épanouissement et l’insertion professionnelle des femmes. En effet, dotées de compétences en esthétique, ces femmes pourront désormais envisager une activité génératrice de revenus leur assurant une indépendance financière et une place active au sein de la communauté.
L’intervention de la présidente de la fondation, Mme Charlène Baliyo EKunda, met en lumière l’importance de la formation pour l’autonomie des femmes. Elle souligne que l’occupation professionnelle des femmes est essentielle pour les sortir de la précarité et de la dépendance. Cette déclaration résonne comme un cri en faveur de l’empowerment féminin et de l’égalité des genres, des enjeux cruciaux pour le développement de la société congolaise.
Les témoignages des participantes, tel que celui de Mme Béatrice Yamba, démontrent l’impact positif de cette formation sur leur vie. Grâce aux connaissances acquises, ces femmes se sentent désormais prêtes à relever les défis du secteur de l’esthétique, à s’épanouir professionnellement et à subvenir aux besoins de leurs familles. Leur volonté de mettre en pratique leurs compétences nouvellement acquises est le reflet d’une détermination et d’une motivation sans faille.
La fondation ‘EKunda’, en œuvrant pour la formation des femmes en situation précaire, s’impose comme un acteur majeur de l’insertion professionnelle et de l’autonomisation des femmes congolaises. Fondée sur des valeurs d’entraide et de solidarité, cette initiative mérite d’être soutenue et valorisée, car elle contribue à l’épanouissement personnel et à l’autonomie économique des femmes.
En conclusion, la formation en esthétique offerte par la fondation ‘EKunda’ à ces femmes du quartier Bibua est un pas significatif vers l’autonomisation et l’émancipation des femmes congolaises. Au-delà de l’aspect pratique de la formation, c’est un message d’espoir et de changement social qui se dessine, mettant en lumière le potentiel et les talents de ces femmes qui aspirent à un avenir meilleur.