**Nouvelles Perspectives Économiques et Enjeux Mondiaux : Le Bilan de Gabriel Leost, Représentant du FMI en RDC**
Alors que le mandat de Gabriel Leost, représentant résident du Fonds monétaire international (FMI) en République démocratique du Congo (RDC), touche à sa fin, un regard rétrospectif sur son implication dans le programme économique du pays s’impose. Après trois années passées à soutenir la RDC à travers la facilité élargie de crédit du FMI, Gabriel Leost tire le bilan de cette expérience dans une interview exclusive accordée à Radio Okapi.
Au cœur des enjeux mondiaux et des défis économiques majeurs qui ont marqué son passage, Gabriel Leost a su faire face à des situations complexes et instables. Son rôle de médiateur entre les autorités congolaises et les instances internationales souligne l’importance stratégique de la coopération économique pour le développement du pays.
Lors de son départ de Kinshasa, fin juillet 2024, Gabriel Leost laisse derrière lui un héritage de réformes et de mesures visant à stabiliser l’économie congolaise. Son engagement sans faille en faveur de la bonne gouvernance économique et de la transparence financière a été salué tant au niveau national qu’international.
Au-delà de son rôle institutionnel, Gabriel Leost incarne également la vision du FMI en tant que levier de croissance et de développement. Ses actions ont permis de renforcer la confiance des investisseurs et des partenaires internationaux envers la RDC, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives économiques pour le pays.
À l’heure où les défis économiques et sociaux persistants appellent à une vision stratégique et à des actions concertées, le bilan de Gabriel Leost résonne comme un appel à la coopération et à la solidarité mondiale. Son départ marque la fin d’une ère mais ouvre également la voie à de nouveaux horizons pour la RDC et pour l’Afrique dans son ensemble.
En somme, l’engagement de Gabriel Leost en faveur de la stabilité économique et du développement durable de la RDC restera gravé dans l’histoire économique du pays. Son départ, loin d’être une fin en soi, offre l’opportunité de construire un avenir plus solidaire et prospère pour les générations futures.