Fatshimetrie, un blog d’actualités avant-gardiste se penche sur la question de la dépolitisation du Conseil Provincial de la Jeunesse (CPJ) dans la province du Haut-Uélé en République démocratique du Congo. Le gouverneur Jean Bakomito a récemment adressé un appel pressant aux membres du CPJ, les exhortant à dépolitiser leur structure. Cette prise de position souligne l’importance pour le CPJ de préserver son rôle d’interface entre les autorités et les jeunes, indépendamment de toute affiliation politique.
Au cœur des débats, le gouverneur s’est engagé à soutenir le CPJ et à garantir son intégration au sein des institutions provinciales. Cette déclaration témoigne d’une volonté claire de renforcer la place du CPJ dans le paysage institutionnel local, tout en soulignant l’importance de préserver son indépendance vis-à-vis des partis politiques.
Le président de cette structure juvénile, François Duabo, a salué la position du gouverneur et s’est engagé à faire en sorte que le CPJ puisse remplir pleinement sa mission. Cette rencontre entre le gouverneur et les membres du CPJ a permis de mettre en lumière les défis auxquels la structure est confrontée et d’ouvrir la voie à une collaboration plus étroite avec les autorités provinciales.
Pour le gouverneur Jean Bakomito, la dépolitisation du CPJ est un enjeu crucial pour garantir son efficacité et sa légitimité. En invitant les membres du CPJ à se concentrer sur leur rôle d’intermédiaire entre les jeunes et les autorités, il pose les bases d’une relation constructive et transparente entre les différents acteurs de la province du Haut-Uélé.
En conclusion, la dépolitisation du CPJ constitue un pas important vers une gouvernance plus inclusive et participative dans la province du Haut-Uélé. En préservant l’indépendance et l’intégrité de cette structure juvénile, les autorités locales témoignent de leur engagement envers la jeunesse et ouvrent la voie à une collaboration fructueuse pour l’avenir de la région.