Kinshasa, le 13 juillet 2024 (Fatshimétrie) – La récente polémique autour de la ministre d’État de l’Environnement de la République démocratique du Congo, accusée de détournement de fonds provenant de la vente de crédits carbone, a suscité une vive réaction du cabinet ministériel. Les allégations mensongères circulant sur les réseaux sociaux ont provoqué une réplique ferme de la ministre, qui a mis en garde les auteurs de ces propos diffamatoires.
Le marché du carbone étant un secteur émergent en République démocratique du Congo, le cabinet de la ministre a invité toute personne cherchant des informations à ce sujet à se tourner directement vers eux ou, à défaut, à saisir les autorités judiciaires compétentes, avec des preuves à l’appui. La ministre, impliquée dans la promotion du marché du carbone pour le bien-être des communautés locales et des ressources forestières, a clairement déclaré son intention de protéger sa réputation en prenant les mesures légales nécessaires contre ceux qui cherchent à la ternir.
Il est important de souligner que ces accusations infondées visent à nuire à la réputation et au travail de la ministre, qui s’investit activement dans la préservation de l’environnement et la promotion du marché du carbone pour le bénéfice de tous. Le cabinet ministériel a appelé l’opinion publique à ne pas accorder de crédit à de telles allégations sans fondement, qui ne font que perturber le travail important réalisé dans le domaine environnemental.
Il est essentiel de souligner le rôle crucial de la ministre dans la mise en place de politiques visant à garantir la durabilité des ressources forestières et à soutenir les communautés locales à travers des initiatives liées aux crédits carbone. Ces efforts doivent être salués et soutenus, plutôt que discrédités par des accusations sans fondement.
En conclusion, il est primordial de laisser la justice faire son travail et de bloquer toute tentative de discréditer le travail essentiel de la ministre pour l’environnement et le développement durable en République démocratique du Congo. Les allégations de détournement de fonds doivent être traitées avec sérieux et vérité, dans le respect de l’intégrité de tous les acteurs impliqués dans la protection de notre environnement.