Il semble régner une certaine opacité autour de l’enquête concernant le prétendu meurtre non résolu d’Asabe Waziri, une employée de la Nigerian National Petroleum Company Limited (NNPCL). Selon les informations, Asabe aurait intentionnellement heurté une femme enceinte avec sa voiture. Malgré les investigations qui ont suivi cet incident, la police n’a pas communiqué sur les conclusions de son enquête.
Les récents développements judiciaires soulignent la volonté de faire toute la lumière sur cette affaire. Une pétition datée du 2 mai 2024, déposée devant le tribunal, met en lumière le refus de la police de divulguer le rapport d’enquête concernant cet incident. Cette demande de transparence est cruciale pour garantir la justice et la vérité.
Dans une requête avec le numéro de dossier FHC/ABM/CS/742/2024, le plaignant demande au tribunal d’ordonner une révision judiciaire par le biais d’un ordre de mandamus. Cet ordre contraindrait les autorités compétentes à fournir immédiatement à la demanderesse le RAPPORT D’ENQUÊTE FINAL d’une affaire impliquant Asabe Waziri. Il est primordial que toute la lumière soit faite sur cette affaire pour que justice soit rendue, conformément aux principes de l’État de droit.
La plainte déposée le 29 mai 2024 vise à déclarer que le refus de la police de divulguer les informations demandées viole les articles 4 et 5 de la Loi sur la Liberté d’Information de 2011. Il est essentiel que les autorités respectent les dispositions légales en matière de transparence pour maintenir la confiance du public dans le système judiciaire.
En somme, il est crucial de garantir la transparence et l’intégrité des enquêtes criminelles pour assurer la justice pour toutes les parties concernées. Le respect de la loi et des droits fondamentaux est essentiel pour préserver la confiance du public dans le système judiciaire et garantir l’équité et la vérité dans chaque affaire traitée par les autorités compétentes.