« La situation désastreuse de la prison centrale de Tshikapa, située dans la province du Kasaï en République Démocratique du Congo, a récemment été mise en lumière par Marc Makopo, coordonnateur provincial de l’ONG APJD. Dans un constat alarmant, il a révélé que cet établissement pénitentiaire est plongé dans un état de délabrement avancé, où les détenus souffrent cruellement du manque d’installations sanitaires, d’eau potable et de nourriture.
Au-delà du simple constat matériel, Marc Makopo tire la sonnette d’alarme quant à l’aspect humain de la situation. Il souligne que les personnes incarcérées sont tout aussi humaines que le reste de la société, et qu’elles méritent d’être traitées avec dignité et respect, même en contexte carcéral. Ainsi, il lance un appel vibrant au gouvernement pour qu’une prise en charge décente des prisonniers soit mise en place, afin de restaurer un semblant d’humanité au sein de ce lieu de privation de liberté.
La prison, qui devrait être un lieu de réhabilitation et de réinsertion, s’est transformée en un véritable enfer pour ses occupants. Cette dégradation des conditions de vie en détention ne peut être tolérée, et il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour remédier à cette situation alarmante. L’appel de Marc Makopo résonne comme une urgence humanitaire, rappelant que la justice et l’humanité ne doivent pas s’arrêter aux portes des prisons.
Au-delà des discours et des constats, il est essentiel que des actions concrètes soient entreprises pour améliorer la situation des détenus de la prison centrale de Tshikapa. Il est du devoir de l’État de garantir le respect des droits fondamentaux de chaque individu, même en situation d’incarcération. Par conséquent, il est primordial que les autorités compétentes prennent les mesures nécessaires pour assurer des conditions de détention décentes et respectueuses de la dignité humaine.
En définitive, la déclaration de Marc Makopo met en lumière une réalité insoutenable qui révèle les failles du système pénitentiaire congolais. Il revient à la communauté internationale et aux acteurs locaux de se mobiliser ensemble pour remédier à cette situation préoccupante et réaffirmer l’importance des droits humains, même derrière les barreaux. »