En ce jour du 25 mars 2024, plongeons dans les méandres de l’histoire pour retracer l’origine de la rébellion du CNDP et la signature de l’Accord du 23 mars 2009. Tout débute en avril 2003, avec la signature de l’Accord Global et Inclusif sur la Transition en RD Congo, marquant le partage du pouvoir en République Démocratique du Congo. Cette période voit l’émergence des FARDC, les Forces Armées de la RDC, résultat de la fusion des différentes forces en présence.
Cependant, c’est en 2004 que les prémices de la rébellion du CNDP se manifestent. Sous la direction du Général de Brigade Laurent Nkunda Mihigo, des tensions émergent en raison de la non-résolution des problèmes du Kivu, notamment la question de la sécurité des rwandophones. Refusant de se conformer aux ordres, Nkunda et ses collègues rwandophones sont poursuivis pour indiscipline.
Cette situation culmine en mai 2012 avec la création du « Mouvement du 23 Mars » (M23), composé d’ex-rebelles du CNDP jugeant que le gouvernement congolais n’a pas respecté les accords de 2009. Ces accords, signés à Goma sous la supervision d’Olusegun Obasanjo et Benjamin William Mkapa, visaient la transformation du CNDP, la réforme de l’armée et des services de sécurité, ainsi que la prise en charge des victimes de la guerre.
Aujourd’hui, réfléchir sur cette période tumultueuse permet de mieux comprendre les enjeux politiques et sécuritaires qui ont secoué la RDC. L’image de l’accord du 23 mars 2009 entre Obasanjo et Nkunda révèle une étape cruciale de cette histoire mouvementée.
Pour approfondir vos connaissances sur le sujet, je vous invite à consulter les articles suivants :
– Article sur l’évolution du conflit en RDC : [lien vers l’article]
– Analyse de l’impact des accords de paix de Goma : [lien vers l’article]
– Interview exclusive du Général de Brigade Laurent Nkunda : [lien vers l’article]
En explorant ces sources, vous pourrez saisir toute la complexité des enjeux politiques et militaires qui ont marqué cette période de l’histoire de la RDC.