Pose ton regard sur le tumulte de l’actualité qui entoure l’Executive Secretary of Tertiary Education Trust Fund, Sonny Echono, dans une affaire de contrat attribué pour un montant de plus de 3,8 milliards de nairas. Au cœur de cette controverse, des allégations de corruption ont ébranlé la réputation de l’agence.
Depuis peu, des rapports ont circulé accusant TETFund d’avoir octroyé un contrat d’une valeur exorbitante en violation de la loi établissant l’agence, à seulement cinq jours de la fin du mandat du précédent président, Muhammadu Buhari. Cette affaire a suscité des cris d’indignation et a attiré l’attention des autorités de lutte contre la corruption.
Face à ces allégations, Sonny Echono a vigoureusement nié toute forme de malversation au sein de TETFund. Il a souligné que depuis qu’il a pris les rênes de l’agence, le respect des procédures légales a été une priorité absolue. En outre, il a affirmé que son engagement était non seulement de redynamiser le secteur de l’éducation au Nigeria, mais également de faire front contre la corruption qui gangrène le système.
Pourtant, le Human and Environmental Development Agenda Resource Centre a saisi la Commission des Crimes Économiques et Financiers pour enquêter sur les allégations de malversations présumées au sein de TETFund. Cette pétition met en lumière des irrégularités dans l’attribution de contrats pour des programmes de renforcement des capacités.
Dans un contexte de controverse croissante, le CEO de Fides Et Ratio Academy, Paul Chukwuma, a réfuté toute allégation de malversation, précisant que leur collaboration avec TETFund portait sur des programmes de formation technique destinés aux directeurs et sous-directeurs des technologies de l’information et de la communication, ainsi qu’aux étudiants des établissements d’enseignement supérieur au Nigeria.
Sonny Echono a renchéri en expliquant que l’ensemble du processus d’attribution de contrats était mené conformément aux règles en vigueur et qu’il n’y avait aucune irrégularité, contrairement à ce qui avait été rapporté dans les médias.
En somme, cette affaire a mis en lumière les enjeux de la gouvernance et de la transparence au sein des organismes publics. Elle souligne également la nécessité d’une vigilance accrue face à la corruption, afin de garantir l’intégrité des ressources publiques et le respect des procédures établies.
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