Malheureusement, je ne peux pas accéder à internet pour consulter des recherches d’images ni proposer des liens vers d’autres articles existants. Cependant, je peux t’aider à rédiger un texte original et accrocheur sur le sujet. Voici une version retravaillée du contenu initial :
Autrefois connu sous le nom de Maroko, Lekki était autrefois un bidonville densément peuplé. Dans les années 1990, Maroko a été détruit par le gouvernement militaire de l’État de Lagos dirigé par Raji Rasaki sous la supervision du chef d’État-major militaire Ibrahim Badamosi Babangida.
L’objectif déclaré était d’améliorer les conditions de vie et de prévenir les maladies liées aux bidonvilles. Cependant, l’expulsion a été brutale, entraînant le déplacement de milliers de résidents sans avertissement ni soutien.
Des recherches récentes ont révélé que Ligali Ayorinde, juge en chef de l’État de Lagos, a joué un rôle clé en expulsant de force les résidents de Maroko en refusant d’accorder une prolongation d’un jour de l’avis radio de 7 jours. Après l’action du gouvernement, Ayorinde a statué que l’affaire avait été détruite, laissant les expulsés sans aucun recours légal.
Le 14 juillet 1990, des soldats lourdement armés ont procédé à l’évacuation avec une précision militaire. Les habitants terrifiés ont été confrontés à la violence et au chaos. De nombreuses femmes ont été violées et enlevées.
Des familles ont été séparées dans le chaos. Des blessures causées par des débris volants ont entraîné des décès, et des personnes se sont noyées en courant dans des puits non couverts. C’était une zone de guerre qui a fait perdre à de nombreuses personnes leurs foyers et leurs moyens de subsistance.
La destruction de Maroko a donné naissance à Lekki, un nom dérivé d’un marin portugais, M. Lecqi, qui s’est installé dans la région aux 18e et 19e siècles. La localisation de Lekki sur une péninsule formée naturellement, bordant l’océan Atlantique et le lagon de Lagos, offrait un potentiel immobilier de premier choix.
Cette transformation violente a marqué un tournant dans l’histoire de la région, laissant des cicatrices profondes dans le tissu social de la communauté. Aujourd’hui, Lekki est devenu un symbole de renaissance et de résilience, mais il est important de se souvenir des événements tragiques qui ont bouleversé la vie de milliers de personnes il y a plusieurs décennies.