A Kisangani, la formation des chefs d’établissements kimbanguistes sur la gestion des écoles a récemment pris fin. Plus de cent vingt responsables d’écoles conventionnées ont eu l’opportunité de renforcer leurs capacités en gestion administrative, pédagogique et financière au cours d’une semaine intense de formation.
Jean-Pierre Ikand Ikand, sous coordonnateur urbain des écoles conventionnées kimbanguistes à Kisangani, exprime sa confiance quant à l’impact positif de cette formation sur la qualité de l’enseignement dispensé. Il souligne l’importance de relever les défis du système éducatif actuel, marqué par des lacunes qui affectent le niveau d’apprentissage des enfants. Selon lui, la responsabilité de l’amélioration incombe à chaque acteur, qu’il s’agisse des parents, des enseignants ou des chefs d’établissements.
Pour pallier ces difficultés et garantir un enseignement de qualité, la formation des chefs d’établissements s’avère essentielle. En renforçant leurs compétences, ces derniers seront mieux outillés pour mettre en place des stratégies efficaces favorisant l’épanouissement des élèves. Il s’agit d’une étape cruciale dans le processus d’amélioration continue de l’éducation, visant à offrir aux jeunes générations les meilleures chances de réussite.
La volonté d’instaurer un environnement éducatif propice à l’épanouissement des apprenants se reflète à travers l’investissement dans la formation des acteurs clés du système scolaire. En dotant les chefs d’établissements des compétences nécessaires pour une gestion optimale, on contribue à garantir un enseignement de qualité, répondant aux besoins et aux attentes des élèves.
En fin de compte, la formation des chefs d’établissements kimbanguistes à Kisangani revêt une importance capitale dans la mission d’offrir une éducation de qualité et de préparer les jeunes à relever les défis de demain. Elle témoigne de l’engagement des acteurs éducatifs à œuvrer ensemble pour l’excellence et le bien-être des apprenants.