Jonathan Majors, acteur de renom, est récemment entré dans l’actualité pour de mauvaises raisons. Après avoir été reconnu coupable d’agression et de harcèlement envers son ex-petite amie, Grace Jabbari, de nouvelles révélations ont émergé. Selon un article du New York Times, deux autres femmes ont témoigné de leurs expériences bouleversantes avec l’acteur.
Emma Duncan, une ancienne compagne de Majors, a détaillé des épisodes d’abus physiques et émotionnels durant leur relation. De son côté, Maura Hooper l’accuse également de mauvais traitement émotionnel.
Ces accusations sont très graves et soulèvent des questions importantes sur la réputation et le caractère de Majors. Son statut dans l’industrie du divertissement risque d’en être affecté.
La condamnation de Majors en décembre dernier, pour agression au troisième degré et harcèlement au deuxième degré, souligne la gravité de la situation. L’altercation avec Jabbari à New York a été le déclencheur des examens minutieux de son comportement.
Dans ces circonstances, il est difficile de prédire comment Majors fera face aux conséquences de ces accusations et s’il devra faire face à des poursuites légales supplémentaires. Cette affaire relance également le débat sur les abus et la responsabilité dans l’industrie du divertissement.
L’avocat de Majors, Priya Chaudhry, a nié toutes les accusations, qualifiant les relations avec les deux femmes de « toxiques ». Elle a souligné que Majors reconnaissait sa responsabilité dans ces relations, mais a affirmé que de nombreuses femmes travaillant dans l’industrie du divertissement pouvaient témoigner de son professionnalisme.
Il reste à voir comment cette affaire évoluera et si elle aura un impact durable sur la carrière de Majors. En attendant, le public et l’industrie du divertissement doivent faire face à une nouvelle remise en question concernant les abus et la responsabilité.