La pollution atmosphérique est un fléau mondial qui affecte de nombreuses villes à travers le monde. L’une des villes les plus touchées par ce problème est New Delhi, la capitale indienne. Récemment, les autorités de la ville ont pris la décision de fermer les écoles pendant deux jours en raison d’un niveau alarmant de pollution atmosphérique.
Les niveaux de particules fines, également connues sous le nom de PM 2,5, sont 35 fois supérieurs au niveau maximum recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces particules fines sont particulièrement dangereuses car elles peuvent pénétrer profondément dans les voies respiratoires et causer de graves problèmes de santé, notamment des maladies respiratoires, des problèmes cardiaques et même le cancer.
La pollution atmosphérique à New Delhi est causée par plusieurs facteurs, notamment les brûlis agricoles, les émissions industrielles et le transport routier. En effet, la pratique des brûlis agricoles, où les agriculteurs brûlent les chaumes des rizières après les récoltes, contribue de manière significative à la pollution de l’air dans la région.
Malgré les efforts des autorités pour sensibiliser les agriculteurs à l’utilisation de méthodes alternatives de défrichement, cette pratique persiste et continue d’avoir un impact dévastateur sur la qualité de l’air à New Delhi.
Les habitants de la ville souffrent quotidiennement de la pollution atmosphérique, ce qui entraîne une augmentation des cas de maladies respiratoires et une détérioration de la qualité de vie. Les autorités ont pris différentes mesures pour tenter de résoudre le problème, comme la suspension des travaux de construction et la mise en place de restrictions de circulation, mais ces mesures n’ont pas réussi à résoudre le problème de manière significative.
Il est donc essentiel de mettre en place des politiques plus strictes pour réduire la pollution atmosphérique, telles que la promotion des énergies propres, la réduction des émissions industrielles et le développement de modes de transport plus durables.
En conclusion, la situation de la pollution atmosphérique à New Delhi est alarmante et nécessite une action urgente. Il est nécessaire de sensibiliser davantage les agriculteurs à l’impact de leurs pratiques sur la qualité de l’air et de mettre en place des politiques plus strictes pour réduire les émissions polluantes. Les habitants de la ville doivent également prendre des mesures pour se protéger, comme le port de masques anti-pollution et la limitation de leur exposition à l’air extérieur lors des périodes de pollution élevée.