« Marie Josée IFOKU déclare sa candidature à la présidence de la RDC : Une femme en route pour changer l’histoire politique du pays »

Marie Josée IFOKU, Présidente de l’Alliance des élites pour un nouveau Congo (AENC), a officiellement déposé sa candidature à la présidence de la République démocratique du Congo (RDC). Son dossier a été enregistré au Bureau de Réception et Traitement de Candidature (BRTC), situé au siège de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

Lors de sa visite à la CENI, Marie Josée IFOKU a été reçue par le Président de la commission, Denis KADIMA KAZADI. Elle a discuté avec lui du processus électoral qui mènera aux élections prévues pour le 20 décembre 2023.

Dans une déclaration à la presse, Marie Josée IFOKU a expliqué sa vision politique basée sur l’idéologie de la « kombolisation ». Elle souligne que son objectif est de mettre fin au système de prédation et de mauvaises pratiques qui ont prévalu en RDC depuis son indépendance. Selon elle, il est temps de rompre avec ce système et de permettre la renaissance du pays.

La « kombolisation » est développée en cinq points clés, qui seront présentés en détail ultérieurement. Marie Josée IFOKU insiste sur son engagement en faveur du peuple congolais et de sa volonté de diriger le pays en apportant une vision de rupture avec les pratiques du passé.

Elle a également souligné sa confiance dans le Président de la CENI, Denis KADIMA, et lui a offert son soutien dans l’organisation de bonnes élections, afin de mettre fin aux crises de légitimité qui ont émaillé les cycles électoraux précédents.

Avec sa candidature, Marie Josée IFOKU devient la première femme à se lancer dans la course à la présidence en RDC, marquant ainsi une avancée significative dans la représentation politique des femmes dans le pays.

Il reste désormais à attendre les prochaines étapes du processus électoral et voir comment la candidature de Marie Josée IFOKU sera accueillie par les électeurs congolais. La course à la présidence promet d’être passionnante et pourrait marquer un tournant dans l’histoire politique de la RDC.