Les avancées enregistrées dans la lutte pour l’instauration de la bonne gouvernance publique en République Démocratique du Congo ont été au centre d’une conférence-débat à l’Université libre de Bruxelles en Belgique. L’Inspecteur général et chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete, a eu l’occasion de présenter les efforts menés par l’IGF dans la lutte contre la corruption et l’implémentation de la bonne gouvernance dans la gestion des finances publiques.
Cette conférence visait à mettre en lumière les résultats obtenus par l’IGF, notamment en termes d’amélioration du climat des affaires et d’attraction des investissements. Jules Alingete, conscient de l’importance de la jeunesse dans le développement d’un pays, a également échangé avec les étudiants congolais sur la nécessité de lutter efficacement contre la corruption en RDC.
Le rôle de l’Inspection générale des finances dans les finances publiques congolaises est indéniable. En effet, l’IGF a notamment contribué à la révision du contrat chinois et à l’assainissement du fichier de paie des agents et fonctionnaires de l’État congolais.
Cependant, les défis restent nombreux. La corruption reste un fléau persistant en RDC et met en péril le développement du pays. Il est donc essentiel de poursuivre les efforts en matière de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption.
L’engagement de Jules Alingete et de l’IGF dans cette lutte est louable, mais il est important que ces actions soient soutenues par l’ensemble des acteurs de la société congolaise. La jeunesse, en particulier, doit être encouragée à prendre part à ce combat, car elle incarne l’avenir de la RDC.
En conclusion, la conférence-débat organisée à l’Université libre de Bruxelles a permis de mettre en avant les avancées réalisées dans la lutte pour la bonne gouvernance en RDC. Cependant, il est essentiel de continuer à sensibiliser, mobiliser et impliquer l’ensemble de la société congolaise dans cette lutte contre la corruption. Car c’est en instaurant une réelle transparence et une gestion responsable des finances publiques que la RDC pourra véritablement progresser vers un développement durable et inclusif.