Les avenues Mbenseke, Cimetière, Chrétienne, Mahenga, Luye, Landu et Libération dans les communes de Kintambo, Ngaliema et Selembao vont être fermées pendant 15 jours pour des travaux de réhabilitation, selon un communiqué du gouverneur de la ville province de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka.
Cette annonce suscite à la fois des réactions positives et négatives chez les habitants de la capitale congolaise. D’un côté, la fermeture de ces axes routiers entraînera certainement des désagréments et des perturbations dans la circulation, notamment pour les automobilistes et les usagers des transports en commun. Cependant, cette décision est également perçue comme une initiative favorable à l’amélioration des infrastructures routières de la ville.
Les travaux de réhabilitation sont donc une nécessité pour garantir la sécurité et la qualité des infrastructures routières de Kinshasa. Les problèmes d’asphalte dégradé, de nids-de-poule, de marquages effacés et de mauvaise signalisation sont des défis auxquels la ville est confrontée depuis plusieurs années. La fermeture temporaire de ces avenues permettra aux équipes de travailler rapidement et efficacement pour rénover les voies et les rendre plus sûres et praticables.
Cependant, il est important que ces travaux soient réalisés dans les délais impartis. Les habitants de Kinshasa ont besoin de voir les résultats concrets de ces rénovations, afin de justifier les désagréments temporaires causés par la fermeture des routes. Il est également crucial que les travaux soient effectués avec transparence et que les ressources allouées soient utilisées de manière efficace pour éviter tout gaspillage et toute corruption.
Cette décision de réhabilitation des avenues Mbenseke, Cimetière, Chrétienne, Mahenga, Luye, Landu et Libération est un pas dans la bonne direction pour améliorer l’infrastructure routière de Kinshasa. Il sera intéressant de voir les effets positifs que cela aura sur la circulation et la sécurité routière dans la capitale congolaise. En attendant, les habitants de Kinshasa devront faire preuve de patience pendant la durée des travaux et envisager des itinéraires alternatifs pour se déplacer dans la ville.