L’agression rwandaise dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC) continue de faire des ravages humanitaires, comme le montre le récent « Livre Blanc » présenté par le gouvernement congolais. Les chiffres sont alarmants : plus de 2,39 millions de déplacés internes dans la province du Nord-Kivu et 1,5 million de citoyens en âge de voter privés de l’enrôlement pour les élections à venir.
L’agression, menée par le M23 sous couvert de l’armée rwandaise (RDF), a non seulement entraîné une crise humanitaire majeure, mais a également eu des conséquences dévastatrices sur l’éducation et la santé. Des milliers d’enfants ont dû abandonner leur scolarité, les écoles ont été désertées, occupées ou détruites. De plus, 67 aires de santé ont été touchées, mettant en péril l’accès aux soins pour les populations locales.
Ce n’est pas la première fois que la RDC subit une telle agression de la part du Rwanda. Les preuves présentées dans le « Livre Blanc » démontrent clairement l’implication de l’armée rwandaise dans ces activités criminelles, visant non seulement à maintenir l’est du pays dans l’instabilité, mais aussi à piller ses ressources depuis de nombreuses années.
Il est essentiel que la communauté internationale prenne conscience de cette situation et agisse pour mettre fin à l’agression rwandaise en RDC. Il est temps de soutenir les efforts du gouvernement congolais pour rétablir la paix, protéger les droits des citoyens et reconstruire les régions dévastées par ce conflit.
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La situation en RDC est complexe et nécessite une attention internationale pour trouver des solutions durables. En tant que citoyens du monde, il est de notre devoir de rester informés et de soutenir les initiatives qui visent à mettre fin à cette tragédie humanitaire.
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