L’article a pour sujet les récents événements survenus à Goma, dans la province du Nord-Kivu en République démocratique du Congo. Une secte mystico-religieuse appelée « Wazalendo » a organisé une manifestation malgré l’interdiction du Maire de la ville. Ils réclamaient le départ de la Monusco, de la Force régionale de l’EAC et de tous les occidentaux avec leurs ONGs.
Les forces de l’ordre sont intervenues pour faire respecter la loi, mais malheureusement, cela a conduit à des pertes en vies humaines et des dégâts matériels. Le chef spirituel de la secte, le prophète Bisimwa Ephrem, n’en est pas à son premier acte de violence.
Cependant, certains analystes voient dans ces manifestations une tentative de perturber l’ordre et de créer des troubles pour empêcher le processus électoral en cours. Les perturbateurs cherchent à imposer un dialogue politique et à obtenir une transition politique. Ils utilisent des scénarios tels que des manifestations violentes pour pousser le pouvoir à la faute.
En analysant les revendications des adeptes de Wazalendo, il est clair qu’ils sont manipulés car la demande de retrait de la Monusco et de la Force régionale de l’EAC est déjà acquise.
Ces tentatives de déstabilisation ne sont pas nouvelles et ont déjà été utilisées par le passé. Certains mouvements citoyens ont été instrumentalisés pour créer des troubles, mais certains de leurs leaders se sont révélés et ont rejoint des partis politiques de l’opposition.
Il est important de rester vigilant face à ces tentatives de déstabilisation et de ne pas tomber dans le piège des perturbateurs. Les élections doivent se dérouler dans un environnement démocratique et il est essentiel de soutenir les autorités dans leurs efforts pour maintenir l’ordre et la sécurité.
En conclusion, les récents événements à Goma mettent en évidence les risques de manipulation et de déstabilisation politique. Il est important de rester informé et d’analyser les événements avec discernement afin de ne pas tomber dans les pièges des perturbateurs.