Le Président de la République, Félix Tshisekedi, a récemment donné des instructions claires au gouvernement pour mettre en œuvre la décision du Parlement concernant la rétribution de la redevance minière en République démocratique du Congo (RDC). Cette décision vise à utiliser une partie de cette redevance pour la réparation des victimes du génocide congolais.
Le Parlement a décidé que les ressources naturelles dont la convoitise est à l’origine de ce fléau devraient être utilisées pour repenser la situation des victimes et leur assurer une réparation. Afin de concrétiser cette décision, le gouvernement congolais a pris différentes mesures. Tout d’abord, il a promulgué une loi et signé des ordonnances permettant la nomination des animateurs du fonds national chargé de la réparation des victimes de violences sexuelles et autres crimes graves (FONAREV), ainsi que l’organisation et le fonctionnement de la commission interinstitutionnelle d’aide aux victimes et d’appui aux réformes, un mécanisme institutionnel.
Le Président Tshisekedi a souligné sa détermination à assurer que ces structures disposent des ressources matérielles et humaines nécessaires pour mener à bien leur action. Cette initiative vise à garantir que les victimes du génocide congolais obtiennent la réparation et la justice qu’elles méritent.
Cette démarche reflète l’engagement du gouvernement congolais à lutter contre l’impunité, à promouvoir les droits humains et à soutenir les victimes de violences. Il s’agit d’une initiative importante qui vise à faire face aux conséquences dévastatrices du génocide congolais et à veiller à ce que les responsables de ces crimes soient tenus pour compte.
En conclusion, l’implication du Président Félix Tshisekedi et du gouvernement congolais dans la mise en œuvre de la décision du Parlement sur la rétribution de la redevance minière pour la réparation des victimes du génocide congolais témoigne d’une volonté forte de rendre justice et de garantir la réparation des souffrances endurées par les victimes. Cette démarche constitue une avancée majeure dans la lutte contre l’impunité et la promotion des droits humains en RDC.