AGPC : Le parti se mobilise contre le harcèlement téléphonique envers Carole Agito Amela

Titre : Carole Agito Amela, présidente de l’AGPC, victime de harcèlement téléphonique : le parti passe à l’action !

Introduction :
Le parti Agir pour le Congo (AGPC) a récemment fait face à une série de harcèlements à l’encontre de sa présidente, Carole Agito Amela. Des individus mal intentionnés ont tenté de soutirer de l’argent à la sénatrice en se faisant passer pour des journalistes. Face à cette situation, l’AGPC a décidé de réagir en déposant une plainte et en engageant des actions judiciaires pour mettre un terme à ces actes délictueux.

Le harcèlement téléphonique : une atteinte à la dignité de Carole Agito Amela

Depuis plusieurs semaines, Carole Agito Amela, présidente de l’AGPC, fait l’objet d’un harcèlement téléphonique incessant. Des individus inconnus se faisant passer pour des journalistes ont tenté de lui extorquer de l’argent. Face au refus de la sénatrice, ils ont maintenant intensifié leurs agissements en menaçant de divulguer de prétendues vidéos compromettantes. Cette situation constitue une atteinte à la dignité et à l’image de Carole Agito Amela.

L’action de l’AGPC pour mettre fin aux harcèlements

Face à cette situation préoccupante, l’AGPC a décidé de prendre des mesures pour protéger sa présidente et lutter contre ces harceleurs. Dans un communiqué de presse, le parti a annoncé le dépôt d’une plainte au Parquet Général de la Gombe. L’objectif est de faire cesser ces actes délictueux et de démanteler le réseau clandestin derrière ces appels harcelants.

Les mamans du parti et les soutiens de Carole Agito Amela se mobilisent

Les mamans du parti et les soutiens de Carole Agito Amela ont manifesté leur soutien indéfectible à la sénatrice. Ils exigent que la justice congolaise agisse rapidement pour mettre un terme à ces agissements. Ils soulignent l’importance de lutter contre le harcèlement téléphonique, qui porte atteinte à la dignité des femmes congolaises. Cette mobilisation vise à valoriser la femme comme mère, épouse et actrice de l’avenir.

L’action judiciaire de l’AGPC : un pas vers la justice

L’AGPC a souligné que son action judiciaire est conforme aux lois congolaises, notamment les articles 74, 75 et 150 du code pénal congolais Livre II et du code du numérique. En déposant une plainte, le parti envoie un signal fort aux harceleurs, montrant sa volonté de faire respecter les droits de Carole Agito Amela et de mettre fin à ces agissements nuisibles.

Conclusion :
Le harcèlement téléphonique dont est victime Carole Agito Amela, présidente de l’AGPC, ne restera pas impuni. Le parti a décidé de passer à l’action en déposant une plainte et en engageant des actions judiciaires. Cette mobilisation vise à mettre un terme à ces agissements délictueux et à protéger la dignité de la sénatrice. La valorisation de la femme congolaise, dans toutes ses dimensions, est au cœur de cette lutte contre le harcèlement.