Tony Cassius Bolamba : Un nouvel espoir pour le Congo dans sa course à la présidence

Tony Cassius Bolamba se lance dans la course à la présidence de la République démocratique du Congo. Dans une déclaration publique, l’ancien gouverneur de l’Équateur a exprimé sa volonté de briguer la magistrature suprême lors des élections prévues en décembre 2023.

Tony Cassius Bolamba est un acteur politique qui a marqué les esprits lors de son mandat de gouverneur de l’Équateur en instaurant une gestion participative et en se rapprochant de la population. Il s’est notamment illustré en baissant son salaire et en investissant une partie de celui-ci dans les études des enfants de sa province.

Dans sa déclaration, Tony Cassius Bolamba reconnaît les efforts du président sortant, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, tout en soulignant que l’œuvre humaine n’est jamais parfaite. Il affirme assumer sa part de responsabilités dans la situation actuelle du pays et propose sa candidature pour réconcilier le Congo avec lui-même.

Le candidat met en avant l’insécurité croissante qui pèse sur le quotidien des Congolais et affirme que le pays cesse peu à peu d’être un État. Son objectif principal est de guérir les maux qui affligent la nation congolaise et de redonner au Congo sa place légitime sur la scène internationale.

Tony Cassius Bolamba souhaite rétablir l’équité, l’unité, la justice et la paix, considérant que sans ces valeurs, le développement ne peut être atteint. Il compte sur le soutien de ses concitoyens, ainsi que sur celui de différentes associations, partis politiques ou regroupements, avec lesquels il prévoit de s’allier pour mettre en place son programme de gouvernance axé sur la santé, l’éducation, la sécurité, le social et l’emploi.

L’annonce de la candidature de Tony Cassius Bolamba à la présidence de la RDC marque un tournant dans la scène politique congolaise. Son expérience en tant que gouverneur, sa proximité avec la population et sa vision de réconciliation et de développement pour le Congo en font un candidat à suivre de près. Reste à voir comment sa candidature sera accueillie par les autres acteurs politiques et par la population congolaise dans son ensemble.