Les récents événements secouant la toile congolaise ont mis en lumière des scènes obscènes impliquant certaines personnalités publiques haut placées de l’Etat. Cependant, il convient de préciser que la présidente nationale du parti AGIR POUR LE CONGO, Carole AGITO AMELA, n’a aucune relation avec ces actes répréhensibles.
Dans un communiqué de presse, la cellule de communication d’AGIR POUR LE CONGO annonce que Carole AGITO AMELA est victime de harcèlement depuis trois semaines. Des individus se faisant passer pour des journalistes tentent de lui extorquer de l’argent et menacent de diffuser de prétendues vidéos compromettantes. Face à cette situation, le parti a décidé de saisir la justice pour mettre un terme à ce chantage et préserver la dignité des femmes engagées politiquement.
La lutte contre le harcèlement et la préservation de l’intégrité des femmes dans la sphère politique sont des enjeux essentiels. AGIR POUR LE CONGO prend ainsi une position ferme en lançant des poursuites conformément aux dispositions légales en vigueur. Cette démarche vise à démanteler le réseau de chantage et à promouvoir la dignité des femmes politiciennes.
Il est primordial que de telles affaires soient traitées avec sérieux et rigueur. Il est inacceptable que des individus cherchent à nuire à la réputation de personnalités politiques en utilisant des méthodes aussi basses que le chantage et la diffusion de contenus compromettants. AGIR POUR LE CONGO envoie un message fort en affirmant son engagement pour la justice et le respect de l’éthique dans la vie politique.
En conclusion, la présidente nationale du parti AGIR POUR LE CONGO, Carole AGITO AMELA, dément formellement toute implication dans des actes criminels de dépravation des mœurs. Son parti prendra toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ce harcèlement et préserver la dignité des femmes en politique. La justice sera saisie afin de démanteler ce réseau de chantage et de promouvoir un environnement respectueux pour toutes les femmes engagées politiquement.