Article : Le processus de paix à l’est de la République démocratique du Congo est salué par Jacques N’djoli
Dans une récente interview accordée à Média Congo Press (MCP), Jacques N’djoli, vice-président de la commission Défense et sécurité de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, a exprimé son soutien au début du processus de paix à l’est du pays.
Bien que n’ayant pas été directement impliqué dans les négociations, Jacques N’djoli a souligné que sa commission suivait de près l’évolution des discussions entre les parties prenantes, sous l’égide de l’Union africaine. Selon lui, la feuille de route de Luanda et le protocole de Nairobi définissent clairement les acteurs impliqués dans ce processus, allant des aspects diplomatiques et politiques à la mise en œuvre des forces sur le terrain.
Le vice-président a également tenu à rappeler que la principale attente du peuple congolais était le retrait du M23 et de ses alliés rwandais du territoire congolais. Pour lui, il est primordial que ces groupes armés étrangers quittent le pays afin de restaurer la normalité dans la gestion de la RDC.
Alors que les négociations de paix ont déjà débuté à Goma, diverses délégations, dont le gouvernement congolais représenté par son vice-premier ministre en charge de la Défense nationale et de l’intégration régionale, sont présentes. Le facilitateur des pays de l’Afrique de l’Est, Uruhu Kenyatta, est également sur place pour superviser ces assises qui visent à ramener la paix dans cette région marquée par l’insécurité depuis plusieurs décennies.
Jacques N’djoli a ainsi exprimé sa satisfaction quant au démarrage de ce processus de paix et a souligné l’importance d’un désarmement et d’une réintégration des combattants volontaires pour assurer un retrait total des forces étrangères rwandaises.
Cet article met en lumière l’engagement de Jacques N’djoli en faveur de la paix et de la sécurité dans l’est de la RDC, ainsi que sa volonté de voir les groupes armés étrangers quitter le territoire congolais. Il souligne également l’importance du processus de paix en cours et la participation active de diverses parties prenantes pour parvenir à une résolution durable du conflit dans cette région troublée.
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